He explains his Patents and his Processes against Judges of court of
appeal and 
against Judges of district court - of Düsseldorf - Germany

Dr.-Ing. Th. SARTOROS

 

LE BREVET "MECANISME D´ANTICYTHERE " DPMA Nr. 10 2010 105 501
EST a VENDRE, PRIS: 265.000,-- € + 19% MWSt

PATENT "ANTIKYTHERA MECHANISM" TO SELL DPMA Nr. 10 2010 105 501

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QUI EST LE PARRAIN DES FEMMES JUGES CRIMINELLES

 DE LA COUR D'APPEL DE DÜSSELDORF / ALLEMAGNE ?

-------------------------------------------------------------------------

 

        LE PRÉSIDENT DE LA COUR D'APPEL DE

 

DÜSSELDORF, (M. WERNER RICHTER) QUITTE LES FEMMES

 

                   JUGES CRIMINELS ET ACCUSÉS

 

              POUR LES PROCESSUS FRAUDULEUX

 

1. Mme MARTINA STEIN, SUPÉRIEURE DU 18ème DÉPARTEMENT

                                      POLITIQUE DE LA COUR D'APPEL

 

2. Mme FUHR (MAINTENANT DANS LE 7ème DÉPARTEMENT POLITIQUE)

 

3. Mme GLAESER (REPRÉSENTANTE DE LA DAME

                            SUPÉRIEUR DU 18e DÉPARTEMENT POLITIQUE)

 

5. Mme BARBIAN (AU 18e DEPARTEMENT POLITIQUE)

 

6. Mme SKIBBE (MAINTENANT ? COUR D'APPEL-Düsseldorf ?)

 

7. Mme ANDEREGG (MAINTENANT DANS LE 17ème DÉPARTEMENT POLITIQUE)

 

                    AGIR À LEURS POSITIONS, COMME SI N'ONT FAIT

                             AUCUN PROCESSUS FRAUDULEUX

                              PAS DE PERVERSION DE JUSTICE,

                           ET AUCUNE VIOLATION DE LA LOI

                                   ET DE PLUS PREND,

                  AUTRES CRIMINELS AVEC LE JUGE TALAR

                              DE LA COUR D'APPEL

            -----------------------------------------------------------------

LE PROCUREUR DE LA REPUBLIQUHE N'INTRODUIT PAS DE CAUSE

           CONTRE MAUVAIS JUGES OU JUGES CRIMINELS

           --------------------------------------------------------------

              LE PROCUREUR GÉNÉRAL DE DÜSSELDORF

                                ÉST D'ACCORD

          --------------------------------------------------------------

            LE MINISTRE DE LA JUSTICE DE NRW

                        (BASE À DÜSSELDORF)

                  TÊTES, PERMET ET EST SILENCIEUX

---------------------------------------------------------------

 LA VICTIME DES PROZESSES FRAUDULEUSES DES FEMMES

          JUGES DE LA COUR D'APPEL DE DÜSSELDORF

                   DOIS PAYER TOUS LES FRAIS

                (DES TRIBUNAUX ET AVOCATS)

 

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       WWW.SARTOROS-DR-ING.DE

 

 

Dernière modification le jeudi, 08 juillet 2021 21:40

                                                                                                                                                 Dr. Th. Sartoros

                                                                                                                                                  Laddringsweg 15

                                                                                                                                                 45 219 Essen

  1.                                                                                                                                             3. mars 2021

À l'avance par fax: 0211-87565-1260 (sans pièce jointe)

Tribunal de district de Düsseldorf

Chambre civile 2b

Werdener Str.1

40327 Düsseldorf

 

Abréviations usée

AHK = Amtshaftungsklage= action en responsabilité officielle

Az = Aktenzeichen= Numèro du dossier

BGB = Bürgerliches Gesetz Buch = Code civil allemand

BGH = Bundes Gerichts Hof = Cour supréme fèdèral

BVerfG = Bundes Verfassungs Gericht = Tribunal constitutionel supreme

D´dorf = Düsseldorf = Ville, capitale du NRW

FA = Finanzamt = Perception

FG = Finanz Gericht = Tribunal du Finance

GA Bl. = Gerichts Akten Blatt= Feuille du dossier Juridique

GenStAnw = General Staats Anwalt = Procureur General

GG = Grund Gesetz = Constitution

GVP = Geschäfts Verteilungs Plan = Project distribuer du Tache

LG = Landgericht = tribunal de district

NB = Nota Bene = bien marquer

NJW = Neue Juristische Wochenzeitschsrift = Nouvelle juridique hebdomadaire

NRW= Nord-Rhein-Westfalen= Nord-Rhin-Westphalie

NZB = Nicht Zulassungs Beschwerde = Non Permission se plaindre de

PKH = Prozess Kosten Hilfe = Demande pour aide financière

OFD = Ober Finanz Direktion = Direktion superieur du Perception

OLG = Oberlandesgericht = cour of Appeal                

RAe = RechtsAnwälte = Advocates

StGB = Straf Gesetz Buch = Penal Code allemande

u.v.V. = und verbundene Verfahren = et joindre procès

ZPO = Zivil Prozess Ordnung = code de procédure civile

 

Re: Az nouveau ; (PKH du 3 mars 2021 pour AHK, contre NRW, représentée par du ministre de la

                         Justice, représenté par le procureur général de Düsseldorf, en raison de Perversion

                         juridique / procédure frauduleuse du juge OLG-D'dorf du 18e sénat civil Mme Stein, dans

                         l'arrêt du 18 octobre 2017 sur Az 18 U 69/16 (LG-D'dorf Az 2b o 271/01).

                         La décision d'OLG du 18 octobre 2017 est fondée sur une fraude juridique (présumée

                         délai de prescription "30/06/2000", les demandes de dommages-intérêts signalées,

                       fondées sur les crimes de FA-Mettmann en 1979-2006 contre l'ingénieur et inventeur

                          grec).

                       Le jugement dû à la procédure frauduleuse ne peut devenir définitif; ce sera annulé;

                       La fraudeuse et criminelle du procès Mme Stein est d' OLG-D'dorf une façon;

                         Le délai de prescription n'a pas eu lieu; Il y a un intérêt légitime

                       Mme Stein est responsable des décisions prises en 2017 (avec l'aide de

                       criminels connus qui ont été exclus par la loi conformément au § 41 n ° 6 ZPO

A.

               Les juges sont soumis à la loi (art. 97 GG) et il y a alors violation de la loi,

                 si une décision ne peut être justifiée sur la base de règles juridiques.

 

Faits en bref

 

Le présent PKH / procès ne traite que des procédures frauduleuses planifiées et exécutées relatives

à Az 18 U 69/16 (2b o 271/01) en 2017 par la présidente du 18e sénat civil, Mme Stein, et avec les conséquences

préjudiciables (financières, économiques, sanitaires) des perversions de la loi.

 

Les fraudes des juges OLG Mme Stein (aide temporaire: Mme Fuhr / Mme Glaeser / Mme Kirschner) dans

la procédure d'appel avec OLG-D'dorf Az 18 U 69/16 (LG-D'dorf Az 2b o 271/01), sont ici traités

brièvement parce qu'ils sont considérés comme prouvés; Conspiration des juges OLG incontestée !!

à cet égard, Mme Stein n'est traitée qu'en conséquence des décisions antérieures; Ici, une nouvelle

détermination du dommage est proposée et des demandes de dommages-intérêts sont faites.

 

Les autres résolutions des fraudeurs (Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser / Mme Kirschner) dans

les années 2018/2019/2020 et 2021 et leurs conséquences seront traitées dans de nouveaux procès / PKH.

 

Dans le, des juges d'OLG accusés (Mme Stein / Mme Glaeser / Mme Kirschner), responsable

pour le procès frauduleux du 18 octobre 2017 dans le jugement sur Az 18 U 69/16), Mme Glaeser était déjà

dans le procès fraude sur Az 18 W 1/13 (et 18 W 44/14) du 3 septembre 2015 avec Monsieur Malsch et M. Anger

impliqués. (voir procès/PKH du 17 février 2021, aucun Az communiqué ici encore!)

 

Mme Stein voulait donc absolument (et elle l'a prouvé avec la décision du 12 janvier 2017) d'avoir Mme Glaeser

dans l'organe décisionnel; Raison: la connaissance des dossiers et l'expérience (Mme Glaeser) sur la fraude

contentieuse au 3 septembre 2015 pour que leur connaissances sur la perver-sion de la loi dans le nouveau

contentieux fraude à Az 18 U 69/16 se répercutent sur (NB: le "délai de prescription" des réclamations à Az

2b o 271/01 ordonné par LG-D´dorf, Mme Stockschlaeder-Nöll / Mme Brecht le 7 juillet 2014 était dans la décision

OLG 3.9.2015 par voie de manipulation / ajout / amendement des textes juridiques de l'ancienne version

du BGB aurait eu lieu le "31 juillet 2006" !!).

 

Une demande d'exclusion du 19 août 2016 contre Mme Glaeser en raison de sa fraude dans l'affaire Az 18 W 1/13

du 3 septembre 2015, etc., décidée le 12 janvier 2017, a échoué en raison de la résistance de la présidente Mme Stein

et à l'acte du § 41 n° 6 ZPO exclu Mme Fuhr (l'ancienne confidente, l'ancien président de la chambre civile

2b, Mme Tannert)

 

La décision OLG du 12 janvier 2017 sur Az 18 U 69/16 signée Mme Stein / Mme Fuhr /Mme Kirschner

(décharge Mme Glaeser de l'accusation de partialité, mais pas de l'accusation selon le § 339 StGB de fraude)

était manifestement illégale (en raison de l'implication de Mme Fuhr).

Mme Stein a non seulement gardé le silence à ce sujet, mais a également défendu le délinquant

(Mme Glaeser).

 

L'audience orale sur Az 18 U 69/16 a eu lieu le 27 septembre 2017, le comité décisif étant Mme Stein / Ms. Glaeser /

Mme Kirschner, le plaignant personnellement avec l'avocat D.Z., et l'avocat Fassnacht, représentant de NRW.

Encore une fois, la criminelle bien connue (Mme Glaeser) siégeait à côté de Mme Stein au comité décisif d'OLG.

Référence est faite à l'arrêt OLG 18.10.2017 avec 29 pages.

 

Dans les mois d'août / sept. en 2017, le plaignant a envoyé ou remis personnellement à l'OLG à Az 18 U 69/16,

un total de 17 envois avec plus de 200 feuilles de "truqué" du dossier du tribunal 2b o 271/01; le plaignant a accusé

les juges LG (dont Mme Stockschlaeder-Nöll, Mme Strupp-Müller, Mme Engelkamp-Neeser, Mme Hoffmann,

Mme Brecht) et les juges OLG dont Malsch / Mme. Glaeser / Anger, Bünten & Co, souhaitaient modifier /

manipuler l'GA à partir de documents incriminants.

 

La fraude judiciaire commise dans le jugement du 18 octobre 2017 par le comité OLG Mme Stein /Mme Glaeser

/Mme Kirschner sont découverts et signalés aux monopoleurs (parquet D'dorf) avec des accusations criminelles

(et une grande quantité de preuves) le 19 septembre 2019, mais un résultat (via la plainte pénale) n'a pas encore

été annoncé. Le GenStAnw-D'dorf a été informé de l'enlèvement.

 

  1. Premier concept des conspirateurs Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser / Mme Kirschner, les dégâts
  2. déclarer les demandes d'indemnisation de l'ingénieur + inventeur à Az 2b o 271/01 comme interdit le 30/06/2000

Après l'application de partialité contre Mme Glaeser (décision du 12 janvier 2017 signée Mme Stein /

Mme Fuhr / Mme Kirschner) et la demande d'exclusion contre Mme Fuhr (décision du 19 juillet 2017 signée

Mme Stein / Unger / Mme Kirschner) a échoué en raison de la résistance de Mme Stein, maintenant les conspirateurs

(Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser) le 30 août 2017 ont également refusé le PKH pour l'appel du 18 août 2016

à Az 18 U 69 / 16; (voir action en justice / PKH du 8 février 2021 en raison d'infractions légales de Mme Fuhr; Az pas connu ici).

 

La comparaison de la décision OLG rendue le 30 août 2017 et rejetant la PKH, avec le contenu et

le libellé de l'arrêt du 18 octobre 2017 sur Az 18 U 69/16 révèle l'implication et l'ampleur des comploteurs individuels

(Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser / Mme Kirschner) dans les différents chapitres.

 

Mme Fuhr, qui est exclue par la loi (§ 41 n° 6 ZPO), a le 30 août 2017 dans la décision OLG le libellé du rejet

de la demande d'appel PKH, qui est par la suite également mot pour mot dans l'arrêt OLG du 18 octobre 2017

à Az 18 U 69/16 ont été repris. (Voir ci-dessous: Comparaison de la décision OLG du 30 août 2017, page 5-7,

avec l'arrêt OLG du 18 octobre 2017, page 23 et suivantes, version de 29 pages;

le lecteur y trouvera la peine purgée avec Prolongation de mois de la force juridique de l'ancienne version du

§ 209 BGB qui a été faite en faveur du plaignant !!). La fraude du trio criminel était donc claire.

 

Mme Glaeser a livré, entre autres, le parachute pour la manipulation / l'ajout / l'amendement du texte de la loi,

par exemple § 209 BGB ancienne version avec la prétendue extension de l'effet juridique de 6 mois après

le prononcé de l'arrêt FG, qui elle a également évoqué le fait que l'Az 18 W 1/13 avait signé dans la résolution

3.9.2015, et beaucoup plus

 

Mme Stein a créé les épais nuages ​​de fumée pour la jurisprudence du BVerfG, pour distraire le plaignant de

la fraude, et a servi (avec enthousiasme) plusieurs fois la fraude comme "en faveur du plaignant", et bien

plus encore.

Ce qui a été écrit ci-dessus montre également que Mme Stein n'avait qu'une chose à l'esprit avec les autres

criminelles aux vues similaires; Que le processus de fraude est discret et offre le moins possible ou pas de

cible pour les révisions ultérieures. Mme Stein a travaillé tout aussi criminellement contre le plaignant en 2021

(plus dans les nouvelles poursuites!)

 

L'activité de Mme Stein avec les criminels Mme Fuhr / Mme Glaeser / Mme Kirschner était «CRIMINEL»

dès le début lorsque l'arrêt a été rédigé le 18 octobre 2017 pour Az 18 U 69/16.

Les nouvelles demandes de dommages et intérêts sont donc justifiées.

 

Le guide de Personnel juridique s'était assuré que Mme Stein (sept. 2015) puis Mme Fuhr (début 2017)

occupaient la place au 18e Sénat civil. (Mme Glaeser était déjà montée à bord en mars 2015 et, malgré la

procédure frauduleuse, est restée au 18e sénat civil le 3 septembre 2015 à Az 18 W 1/13 afin d'acquérir

de l'expérience dans la fraude contre le plaignant) Mme Kirschner venait de la Chambre des représentants

et était responsable du soulagement théorique / théâtral des autres femmes (Glaeser / Fuhr) des allégations de

partialité.

 

Le quatuor criminel avec Mme Stein comme présidente (Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser / Mme Kirschner)

n'a pas pris en charge les arguments juridiques du plaignant, contenus dans l'appel; L'importance avérée des faits /

événements sur le délai de prescription a été supprimée / réprimée des faits du jugement 18.10.2017 de Mme Stein.

 

C'était le travail de Mme Stein de déclasser et de supprimer tout ce qui était présenté comme insignifiant (dans

la mesure où les candidatures étaient recevables!).

La section «C» suivante prouve comment les formulations de Mme Fuhr dans la résolution 30.8.2017, après

consultation avec Mme Stein, ont été adoptées dans l'arrêt du 18 octobre 2017 sur Az 18 U 69/16; La preuve justifie

les nouvelles demandes de dommages-intérêts.

 

"Le plaignant était déjà informé de l'irrecevabilité alléguée des requêtes dans la décision PKH du

   Sénat du 30 août 2017". (Texte de l'arrêt OLG du 18 octobre 2017, Az 18 U 69/16, page 17, point 3)

 

  1. Comparaison de certains extraits de la décision OLG, 30 août 2017 Mme Stein / Mme Fuhr / Mme

     Glaeser (= S / F / G) et de l'arrêt OLG-D'dorf du 18 octobre 2017 sur Az 18 U 69/16 Mme Stein /

     Mme Glaeser / Mme Kirschner

 

C1. À la page 6, paragraphe 2, lignes 1 et 2, de la décision 30.8.17 susmentionnée, le comité (Stein /

       Fuhr / Glaeser) explique la validité et l'applicabilité du BGB (ancienne version) (§ 211), qui "après

           conclusion juridiquement contraignante de la procédure devant le FG, le délai de prescription

           de 3 ans a recommencé à courir ".

 

Le lecteur retrouvera la même phrase identique dans l'arrêt OLG du 18 octobre 2017 sur Az 18 U 69/16

       (Page 22, ligne 17 et suivantes, version de l'arrêt 29 pages) du comité (S / G / K = Stein / Glaeser /

       Kirschner)

      

           Le comité (S / F / G) commet la fraude multi-processus dans les 3,5 dernières lignes du 2e

           Paragraphe en liaison avec les lignes 1-2 du 2ème paragraphe; Là (décision 30.8.17, page 6,

           dernière Lignes, paragraphe 2) est le suivant

    

         "En faveur du plaignant, le Sénat a déjà pris des résolutions antérieures pour cette période

           jusqu'à la force légale de six mois, de sorte que l'action en justice devant le l 'interruption

           du délai de prescription déclenchée par le tribunal fiscal a pris fin au plus tard le

           30/06/2000 "

         Le lecteur trouve la phrase ci-dessus identique dans l'arrêt OLG du 18 octobre 2017 sur Az 18 U

         69/16 (Page 22, ligne 25 et suivantes, jugement version 29 pages).

                    

             D'après les lignes ci-dessus, on peut voir que (les soulignements sont faits par le demandeur);

  1. a) le délai de prescription a été interrompu en raison de la procédure FG, et
  2. b) selon les lignes 1-2 du paragraphe 2, le délai de prescription de 3 ans a recommencé.
  3. c) Le 18e Sénat a également commis la fraude prouvée ci-dessous dans des «résolutions

          antérieures»

  1. d) qu'ils rabaissent en faveur du demandeur
  2. e) la force légale (de l'interruption du délai de prescription) dure six (6) mois après la délivrance du

           jugement FG.

  

En vertu du "point c" ci-dessus ("dans les décisions antérieures") figure la fraude de Mme Glaeser à

   Az 18 W 1/13 (et 18 W 44/14) signé le 3 septembre 2015 Malsch / Mme Glaeser / Anger signifiait, le

   prochain Lines (également dans le procès / PKH du 17 février 2017 également contre Mme Glaeser)

     est analysée / commentée

 

   Le jeu de mots avec les termes «prescription», «délai de prescription», «interruption du

   délai de prescription» le délinquant (Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser) à propos de la

   confusion, puis la mauvaise Obtenir le résultat de la prétendue "limitation des réclamations"

   relève également du jugement de 18.10.2017 identique à Az 18 U 69/16 (page 22).

   Les criminels étaient déjà en Août 2017 pour la fraude en justice convenue.

                                

     Il convient donc de noter brièvement que

 

   «La procédure du FG a interrompu le délai de prescription (protection juridique primaire) et ce

   Interruption du délai de prescription en raison de la procédure FG (c'est-à-dire en raison de la

     protection juridique principale) terminé un mois (et non pas 6 mois !!) après le prononcé du

     (dernier?!) arrêt FG ".

 

Eh bien, sur la base des données de la décision OLG 30.8.2017 à la page 6, paragraphe 2, le

     (prétendument !!), le dernier jugement FG a été rendu le 24 novembre 1999 (qui a également été

     inclus dans l'arrêt OLG de 18.10.2017!!), il s'ensuit que:

 

     En supposant que le jugement FG a été signifié au début de janvier 2000, il a fallu (en raison de

     la protection juridique primaire) l'interruption déclenchée du délai de prescription primaire

     jusqu'au début Février 2000 (délai statutaire d'un mois pour un contest à le BFH !!).

 

     Par la suite, c'est-à-dire à partir du début du mois de février 2000, le délai de prescription légal

     de 3 ans s'applique (selon BGB) a commencé à courir pour le dépôt de la poursuite officielle en

       responsabilité (tel que confirmé par la décision OLG 30.8.17, page 6, ligne 1, paragraphe 2, et le

       jugement 18.10.17, page 22)

 

   La fin de ce délai de prescription légal selon le BGB serait de 3 ans plus tard, soit rejoint en février

   2003.

    

   Mme Stein a des infractions légales avec les comités OLG (Stein / Fuhr / Glaeser, décision 30.8.17)

   ainsi que (Stein / Glaeser / Kirschner, arrêt 18.10.2017) et les commissions criminelles OLG

       susmentionnées affirment que l'interruption du "délai de prescription" (BGB) a pris fin le

   "30/06/2000" sans avoir à préciser que l'interruption du délai de prescription a pris fin en raison

     de la protection juridique primaire puis le délai de prescription de 3 ans a commencé à courir.

    

   L'infraction est ainsi achevée et l'infraction est également révélée à la page 6, paragraphe 3, au

     point a), (Décision 30.8.17) où il écrit que le délai de prescription de 3 ans selon l'ancienne version

     BGB § 211 sur "Survenu le 30/06/2000 au plus tard le 31/07/2006".

  

     Le lecteur trouve la phrase ci-dessus identique dans l'arrêt OLG du 18 octobre 2017 sur Az 18 U

     69/16 (Page 22, dernières lignes, et page 23 2 premières lignes, version 29 pages) du (S / G / K)

 

   Cela, ni le "30/06/2000" ni le "31/07/2006" n'a fait le délai de prescription de 3 ans (BGB) (qui était

   en février 2000 a commencé à courir) terminé le 30/06/2000 n'est que le résultat de la

   planification / exécution Fraude de Mme Stein avec des femmes criminelles partageant les mêmes

     idées.

 

   Cela justifie le présent procès / PKH et les demandes de dommages et intérêts

   Les comités criminels en toge de juge OLG (Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser) et Mme Stein

   / Mme Glaeser / Mme Kirschner) ont délibérément évité d'écrire que le délai de prescription

   de 3 ans période selon le Code civil allemand (BGB) a commencé à courir en février 2000.

  

   Le lecteur trouvera les mêmes suppressions dans l'arrêt OLG du 18 octobre 2017 (S / G / K).

 

     En supprimant et en utilisant le mot «interruption du délai de prescription» (du

   protection juridique primaire !!) les comités ont induit le lecteur en erreur et donc le mauvais

   résultat atteint c'est-à-dire que le délai de prescription de 3 ans (BGB) le 30.6.2000 ou au plus tard

     (!?) le 31 juillet 2006 aurait expiré. L'ajout (31 juillet 2006) vient de Mme Glaeser.

 

   En outre, le comité (Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser) à la fois dans la résolution

     "30.8.2017" et également le comité (Mme Stein / Mme Glaeser / Mme Kirschner) dans l'ensemble

   de l'arrêt OLG du 18 octobre 2017Az 18 U 69/16 n'explique pas comment se déroule la date de

     chute en parachute "31.7.2006".

 

   Le 3ème paragraphe, page 6, de la résolution 8/30/2017 se termine par la date énigmatique

"7/31/2006" qui prouve le caractère arbitraire du panel et la fraude / les crimes avec lesquels le

   panel dans tous les cas, a tenté de faire appliquer l'absurde "prescription".

 

   Le lecteur trouve la même date déroutante «31 juillet 2006» dans l'arrêt du 18 octobre 2017

   (page 23)

   Selon le StGB, cela est passible d'une peine d'emprisonnement de plus de 5 ans. Cela justifie le

   présent Action en responsabilité civile contre les femmes Stein & Co (Mme Fuhr / Mme Glaeser /

   Mme Kirchner).

 

     La date "31/07/2006", tombée avec le parachute, servira plus tard au comité pour d'autres

     conclusions pénales et "la fraude est servie en faveur du plaignant"

    

Les dames sont évidemment au-dessus des lois et peuvent avoir n'importe quelle période mensuelle

     statutaire allonger ou raccourcir.

 

C2. La dénaturation des faits commise en page 7 (décision 30.8.17) et dans l'arrêt 18.10.2017

       page 23, version 29 pages) sert l'objectif susmentionné, à savoir la limitation des demandes de

       dommages-intérêts appliquer et « » les crimes de FA-Mettmann

 

     Dans toute la décision OLG du "30.8.2017" Az 18 U 69/16 a signé un trio criminel (Mme Stein /

     Mme Fuhr / Mme Glaeser) ainsi que dans le jugement 18.10.2017 du trio criminel (Mme Stein /

   Mme Glaeser / Mme Kirschner) Nulle part un mot n'est écrit sur la plainte / rappel souvent

     dirigée que le Les saisies bancaires de 1986-1989 n'ont pas encore été levées, bien que trois

       domaines le chef de la FA-Mettmann avait demandé l'abrogation à deux reprises. La tête du

       marais (M. Eigendoof) s'y est opposé.

 

     "Tant que dure l'intervention en cas de sinistre, le délai de prescription ne peut pas commencer."

                                   le BGH a décidé (ce qui est toujours valable aujourd'hui).

 

   Si les comités criminels OLG-D'dorf avec les délinquants (Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser)

   et (Mme Stein / Mme Glaeser / Mme Kirschner) ont rapporté les faits ci-dessus dans les faits,

     puis le PKH sollicité devrait approuver et le 18 octobre 2017 dans l'arrêt du 18 U 69/16 la

     compensation doit convenir. L'indemnisation, cependant, contredit le plan de fraude

  

   Les comités OLG voulaient en tout cas le "délai de prescription" ordonné par le LG-D´dorf le

   07/07/2014 faire exécuter, donc, les saisies-arrêts bancaires et la demande des 3 chefs de service

   passer sous silence et ainsi déformé / manipulé les faits comme cela leur convenait.

   Ceci est également puni par le § 339 StGB et donc le présent procès / PKH pour responsabilité

du criminel Mme Stein établie.

 

C3. Selon les délinquants (Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser), l'indemnisation de la douleur et

       de la souffrance est également "Délai de prescription" (voir décision 30.8.2017, Az 18 U 69/16,

         page 10, point e) ainsi que dans l'arrêt du 18 octobre 2017, à Az 18 U 69/16 (page 27) signé

         Mme Stein / Mme Glaeser / Kirschner également comme prescrit contenir

    

       Cependant, les atteintes à la santé expirent au bout de 30 ans selon l'ancienne version du code

       civil allemand et la nouvelle version du code civil allemand.

 

       Le procès 2b o 271/01 a été déposé le 5 février 2001 et le délai de prescription a été

     préalablement interrompu (protection juridique primaire). Quand le délai de prescription

     de 30 ans du BGB a-t-il expiré?

    

       Si les saisies bancaires ci-dessus ont été prises en compte, le délai de prescription n'a pas encore

       a commencé à courir. Ceci est à nouveau convaincant quant à l'intention des délinquants qui

     "Appliquer le délai de prescription pour toutes les applications"; sur leur responsabilité pénale

       selon § 339 StGB et plus il ne devrait y avoir aucun doute sur le bien-fondé de la présente action

      / PKH.

  

     En outre, il a été répété à plusieurs reprises que l'indemnisation de la douleur et de la souffrance

     dans Az 2b o 268/01 n'est pas identique

     La cause a, comme l'indemnisation demandée pour douleur et souffrance à Az 2b o 271/01 pour

     les crimes de la FA Mettmann (perte de subvention, etc.), même s'ils ont le même montant).

    

L'allégation du comité OLG a également été traitée en détail dans l'appel du 18 août 2016

     (P. 59-60, ainsi qu'en bref 12 juillet 2012, p. 3, 94, 117) et invalidé, mais les deux comités OLG

     voulait en tout cas les demandes de dommages-intérêts du demandeur avec des allégations

     erronées détruire. Ceci est convaincant de l'intention d'une infraction pénale au sens du § 339

     StGB et des mérites locaux de l'action.

 

     Soit dit en passant, ce que le trio (Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser) dans la décision

     négative de PKH 30 août 2017 pour rejeter les réclamations en raison du délai de prescription

     présumé est inchangé dans le jugement OLG du 18 octobre 2017, afin que les infractions pénales

       des comités OLG est répété et justifie la présente action / PKH.

 

  1. Contribution de Mme Stein au jugement Az 18 U 69/16 pour que le procès frauduleux

   du 18 octobre 2017 aboutisse.

 

D1. Outre les infractions de Mme Fuhr et de Mme Glaeser décrites ci-dessus, pour lesquelles Mme

       Stein avec sa signature en tant que complice, Mme Stein est également responsable de la

     de multiples distorsions des faits pour les mensonges délibérés des 2 femmes (Mme Fuhr / MME

     Glaeser) ainsi que pour les violations de la loi commises dans les résolutions signées par elle et

     Arrêt du 18 octobre 2017.

 

D2. La déformation des faits concerne, entre autres, la suppression des faits que l'ensemble

       2001, dans les plaidoiries de l'avocat uniquement de «procès» et «pétitions» ou «procès avec»

       Demande PKH de la même date »ou« Augmentation de la poursuite » se lit, ce que les 2 comités

       OLG ont caché; et en ce sens uniquement à partir de l'application PKH du 5.2.2001 de la part de

       l'OLG Comité (Mme Stein / Mme Glaeser / Mme Kirschner) dans l'arrêt du 18 octobre 2017. La

     RA Lettre du 17 juillet 2003 (feuille GA 283) indiquant que la RA a déposé une ACTION

     INCONDITIONNELLE le 5 février 2001 est mentionné dans les faits de l'arrêt (page 12); Mais ni

       dans le jugement LG du 11 mai 2016 toujours dans les décisions OLG du 3.9.2015 Az 18 W 1/13 ou

     30.8.2017 et pas non plus dans l'arrêt OLG v. 18.10.2017 à Az 18 U 69/16 est mentionné.

       L'importance du délai de prescription était complètement dissimulée.

 

     Cacher / dissimuler le fait et sa signification n'est pas «accidentel» Erreur ou oubli du document

       "mais une manœuvre ciblée autour des" conséquences juridiques du action inconditionnelle

       "pour contourner l'interruption du délai de prescription et ainsi le demandeur à dommage.

     L'acte intentionnel et criminel des comités LG / OLG est couvert par le § 339 StGB et voit

     Emprisonnement (PRISON) d'il y a 5 ans.

 

D3. "L'annonce des plaintes nouvellement rédigées du 29 décembre 2001 au tribunal

       reçus le 31 décembre 2001 signifient, selon l'ancienne version du BGB, une "interruption du

       délai de prescription"

     Le fait que les revendications nouvellement rédigées de l'OFD-D'dorf aient été communiquées en

       prouve Lettre de l'OFD du 27 février 2002 signée Nissen (GA Bl.168)

 

     Tous les organes mentionnés ci-dessus (LG / OLG) ont la signification de la lettre OFD ainsi que le

     "nouvellement formulé Les revendications du 29.12.2001 "ont gardé le silence sur le délai de

       prescription, et ne mentionnent que la PKH-Demande datée du 5 février 2001 pour arriver à la

       conclusion qu'aucune mesure inconditionnelle n'a été prise le 5 février 2001 ou selon l'ancienne

     version du Code civil allemand jusqu'au 31 décembre 2001. (voir l'arrêt OLG, page 23, point a)

     L'infraction pénale a inculpé tous les signataires des décisions négatives LG / OLG-PKH et

     Arrêts LG-Az 2b o 271/01, ainsi que l'arrêt OLG-Az 18 U 69/16 u.v.V.

 

D4. La fraude de processus la plus visible commise, à la page 22 (dernières lignes) de l'arrêt OLG du

       Le 18 octobre 2017 sur Az 18 U 69/16 (version de 29 pages), révèle l'influence de Mme Glaeser,

     mais tous les signataires de l'arrêt OLG du 18 octobre 2017 étaient au courant du crime.

 

     À la page 22, où le comité (Mme Stein / Mme Glaeser / Mme Kirschner) a signalé une fraude

     Prolongation de 6 mois du § 209 BGB (ancienne version), qui ci-dessus comme "BÉNÉFICE DE

    PLAIGNANT" (Page 25) servir, on voit que les dames vont le faire en nommant la date

   30/06/2000 pour induire le lecteur en erreur et nuire au plaignant. Ceci est puni en vertu de

     l'article 339 du code pénal allemand

 

     Une date du 30/06/2000 ne résulte qu'après addition des 6 mois frauduleux au fictif fin

     du 31 décembre 1999, c'est-à-dire la fin alléguée de la suspension du délai de prescription

     (en raison de la protection juridique primaire); Par la suite, selon le comité OLG, la confirmation

    devait suivre:

 

     "Le délai de prescription de 3 ans selon l'ancienne version du Code civil allemand pour

     recommencer à courir."

 

   Au lieu de répéter la phrase de (délai de prescription de 3 ans, etc.), ajoutez les 6 mois et

   puis déterminez les 18 (?) mois restants (pages 24, 25) dont ils ont également besoin

     afin de pouvoir affirmer qu'aucune inconditionnelle (limitation-interruption) une action

   en justice est déposée. La responsabilité pénale des femmes Stein / Glaeser / Kirschner

     selon le § 339 StGB est claire.  

 

D5. De plus, elle (Mme Stein) aurait dû savoir que des plaintes avaient été déposées auprès du FG

     pour le remboursement des impôt payé en trop ou saisi ou retenu en raison d'un impôt illégal

     les avis d'évaluation entraînent une interruption du délai de prescription et dans la mesure où

     l'affirmation (Pages 22, 24) que le processus FG 4 K 3384/01 n'aurait pas interrompu le délai de

     prescription, est une phrase vide qui ne sert qu'à expliquer la prétendue «limitation des

   réclamations» et le litige fraude pour rabaisser. (Voir BCN du 19 mars 2018, page 9); Infraction

     pénale selon § 339 StGB incontestée.

 

D6. À propos du début du délai de prescription (page 22, de l'arrêt OLG du 18 octobre 2017, version

     29 pages)le comité OLG conteste l'effet juridique du procès FG avec Az 4 K 3384/01 et donc

     fait non seulement appel au plaignant et à ses représentants légaux, mais également aux juges

     BGH. Dernier mais préfèrent garder le silence sur les procédures frauduleuses des juges LG / OLG

     et pas de décharge positive délivrée. Cela reste donc avec le point D5 cité ci-dessus.

     (voir également les pages 7-8 de la NZB du 19 mars 2018)

 

D7. Le plaignant s'est plaint à plusieurs reprises du "style des dossiers judiciaires de la part du

       Personnel du tribunal ". Dans l'arrêt OLG du 18 octobre 2017 susmentionné, à la page 19 et

     principalement à la page 20, Point 2, (version 29 page) le lecteur trouve des explications qui sont

     plus que des excuses et moins que les arguments juridiques pourraient fonctionner. Mme Stein

     prétend

    

    "Le plaignant a tenté la procédure RA en envoyant les documents gonflés faire levier !! "

 

     Vers la fin du paragraphe de la page 20, même les RAe sont accusés d'avoir les dossiers (ceux

     pour inspection reçu) pour se faire coiffer.

      Les GA ne sont envoyés qu'à OFD-D'dorf, RA D.Z., et à RA Fassnacht.

     La probabilité que les GA au sein du LG-D'dorf et de l'OLG-D'dorf soit coiffée

     est devenu incontesté en raison de la preuve.

     Il est exact que le demandeur a personnellement envoyé 17 envois à l'OLG à partir d'août 2017.

     Az 18 U 69/16 a envoyé plus de 200 pages manquantes de la GA gonflée <

     (l'OLG n'a confirmé que 13 diffusions !!)

    

   Le peu de temps, les coûts élevés et la pression de travail ne leur permettaient pas à l'époque

     pour transmettre d'autres feuilles manquantes;

 

                 certains d'entre eux sont nommés ici:

 

  1. La liste pour Az 2b o 77/08 (16 pages) des 273 avis illégaux de la FA-Mettmann est manquante

       pour la période 1979-1992, envoyé à Az 2b o 271/01 à l'époque avec un mémoire de RA-N.L.

  1. Le "certificat de délivrance de brevet (coloré) sur le mécanisme d'Anticythère" est manquant
  2. L'image en couleur du "mécanisme des brevets d'Anticythère" est manquante
  3. Aussi la plainte immédiate du 9 octobre 2007 contre la décision LG du 18 septembre 2007 fait

       défaut Strupp-Müller / Engelkamp-Neeser / Galle (c'est-à-dire contre le procès frauduleux du

       18 septembre 2007)

  1. Les parties n'ont pas été convoquées à l'audience du 1er octobre 2002 le 2.8.2002
  2. Si l'ordonnance du tribunal du 18 février 2002 fait défaut, que les << réclamations nouvellement

         rédigées >> de Le 29 décembre 2001 sur Az 2b o 271/01 "a été annoncé au défendeur".

  

   Les documents manquants susmentionnés (voir également le point D3 ci-dessus) montrent que

     seuls les juges LG / OLG étaient intéressés à retirer les feuilles de GA. Par conséquent, dans

     certains endroits de GA, des feuilles étrangères (tableaux des salaires et indemnités !!) peuvent

     être trouvées.

  

   Selon nos connaissances, le soin de faire attention aux dossiers incombe au bureau (= GS),

     mais pèse aussi sur la présidente.

    

   D'autant que la séparation des 2 procédures (2b o 118/99 et 2b o 271/01) de la part de

     Stockschlaeder-Nöll est effectué, et lors du tri de certaines des feuilles originales ayant appartenu

     à Az 2b o 271/01, sont enterrés dans Az 2b o 118/99 ou Stockschlaeder-Nöll a complètement

     supprimé des fichiers.

   Le GS ne peut cependant pas se plaindre si le président retire des feuilles de GA.

 

D8. La «COUVERTURE» de la composition illégale des comités LG constitue évidemment une

         préférence particulière des juges OLG.

 

     La raison en est que dans la décision OLG du 18 octobre 2017, page 27, la décision LG a été

     mentionnée trois fois daté du 11 mai 2005 (signé Mme Stockschlaeder-Nöll / Mme Dress / Galle);

     le 11 mai 2005 le biais Requête contre Strupp-Müller de la part de l'organe susmentionné, qui

     n'est pas responsable selon GVP et a proclamé un organisme violant l'article 75 de la GVG ou

     l'article 101 de la Loi fondamentale;

 

     Le comité OLG (Stein / Glaeser / Kirschner) mais pas un mot sur les et ne mentionne pas que

     l'occupation antérieure du 18e Sénat (Malsch & Co) regarda par dessus.

     Le recours en annulation contre la décision LG du 11 mai 2005 n'a jamais été tranché.

 

     Le demandeur a attendu la décision sur l'annulation et n'a pas été éternellement

     est resté inactif; parce que les mensualités des frais de justice avait été soigné et reçu

       au Trésor public tous les mois depuis août 2004.

 

D9. Les résolutions avec décharge de Mme Fuhr et Mme Glaeser pèsent sur les signataires

       (Mme Stein & Co)

 

D10. Le comité Mme Stein / Ms. Glaeser / Mme Kirschner a dans un arrêt du 18 octobre 2017 sur

         Az 18 U 69/16 (Page 2) le pourvoi en cassation (concernant le pourvoi) n'est pas admis.

         Ainsi, le comité a violé la décision BGH, qui dit que la révision doit être admise si un juge a été

         impliqué dans une instance antérieure (par exemple, Mme Fuhr) Voir BGHZ 172, 250 dans NJW

    2007, 2702; Cela a été souligné dans tous les écrits du plaignant

 

       En plus de toutes les autres infractions pénales, ce blocage arbitraire des recours judiciaires est

       efficace du comité OLG pour faire valoir les droits du plaignant, particulièrement graves, et

       les signataires de l'arrêt du 18 octobre 2017 et Mme Fuhr méritent le nom de la«Criminel»,

       car l'infraction commise selon le StGB avec 5 ans d'emprisonnement est puni.

    

      Le constat que le trio criminel (Stein / Fuhr / Glaeser) le 30 août 2017, ainsi que le criminel

       Trio (Mme Stein / Mme Glaeser / Mme Kirschner) le 18 octobre 2017 n'avait qu'une chose

       en tête, à savoir le processus se rendre compte que la fraude est à nouveau confirmée;

       donc les fraudeurs à l'intérieur pas préoccupé par le texte des lois en vigueur; ils étaient sûrs que

       rien pourrait arriver.

 

  1. Estimation du dommage en fonction du montant litigieux, en tenant compte de la procédure

                                         frauduleuse de Mme Fuhr et du Malsch / Mme Glaeser / Anger

 

Le tribunal se voit proposer l'estimation suivante des dommages conformément à l'article 287 du

code de procédure civile allemand:

 

Dans l'appel du 2b o 271/01 (avec Az 18 U 69/16 à l'OLG-D'dorf), environ 19 juges OLG avaient commis

des crimes selon le § 339 StGB en mars 2021. Y compris Mme Fuhr le 12 janvier 2017 et le 30 août 2017.

 

                              Les noms des contrevenants Les juges d'OLG sont:

 

Malsch, Haarmann, Mme Schroeder, Mme Anderegg, Mme Baan, Mme Glaeser, Anger, Mme Stein, Mme Fuhr,

Mme Kirschner, Roßwinkel, Mme Barbian, Mme Skibbe, Bünten, Mme Jungclaus, Wermeckes, Mme Grabensee,

C.-G. Müller, Dahm (liste non exhaustive)

 

Parce que le procès local / PKH ne concerne que les conséquences de la procédure frauduleuse de

Mme Stein / Mme Glaeser / Mme Kirschner comme objet, on peut assumer la valeur litigieuse de l'arrêt

OLG 18 U 69/16 du 18 octobre 2017 et limiter le nombre de juges impliqués à ceux qui ont effectivement

causé des dommages en 2015-2017. Il s'agissait des juges OLG: Stein / Fuhr / Glaeser, Stein / Glaeser /

Kirschner, Malsch / Glaeser / Anger et Mme Fuhr (Les conséquences de la fraude de Mme Fuhr en raison

de sa participation au comité le 30 août 2017 sont déjà le procès / PKH du 8.2.2021 a été déterminé et pris

en compte, de sorte que cela doit être déduit

 

Le dommage estimé de la fraude contentieuse le 3 septembre 2015 à Az 18 W 1/13 (Malsch / Mme Glaeser

/ Anger) a déjà été déterminé dans le procès / PKH contre ce qui précède. Les deux pertes déjà déterminées

seront déduites; ce qui reste est le dommage causé par Mme Stein & Co avec le litige fraude relatif à

Az 18 U 69/16 pour 2017). La facture / devis ressemble à ceci:

 

Le montant en litige de l'appel d'OLG contre Az 18 U 69/16 s'élevait à 1 973 319,93 €; (voir preuve)

 

Compte tenu du fait que le comité OLG Stein / Glaeser / Kirschner a causé les dommages restants

(à l'exclusion des dommages causés à Mme Fuhr et Malsch / Mme Glaeser / Anger) (les frais /

honoraires de RAe seront finalisés en tenant compte dans un nouveau procès),

remis:

                                       1 973 319,93 € - 51 929,47 € - 429 845,99 € = 1 491 544,47 €

                      

Bien entendu, l'évaluation des dommages ci-dessus pourrait être affinée, en fonction de la valeur

de chaque jugement / résolution, le temps de traitement (ou le blocus) jusqu'à ce que le jugement /

résolution soit rendu et son effet (s'il n'a eu qu'un effet individuel ou a eu un effet sur l'ensemble

de la procédure)

 

Le raffinement se heurte cependant à de réelles limites en ce qui concerne le nombre de signatures

du président, car à chaque fois le président doit signer la résolution respective.

 

  1. Connaissance de la personne et début du dommage matériel

 

Les délinquants (Mme Stein) et leurs assistants (Mme Glaeser / Mme Kirschner) ont confirmé immédiatement

et à plusieurs reprises l'intention de poursuites frauduleuses.

 

Le début des dommages, cependant, n'est que le 19 septembre 2019 lorsque la fraude au procès des juges

OLG Mme Stein et les assistants (Mme Glaeser / Mme Kirschner) découverte ou complètement dans le

jugement du 18.10.2017 sur Az 18 U 69/16 a été découvert et signalé au procureur de Ddorf avec une

plainte pénale.

 

La procédure LG-Az 2b o 271/01, OLG-Az 18 U 69/16, BGH Az III ZR 332/17 se termine comme déjà écrit

plusieurs fois après réception de la décision de la Cour constitutionnelle fédérale le 6 octobre 2018.

Dans la mesure où aucun délai de prescription n'a eu lieu.

 

La connaissance du début du dommage nécessite également la connaissance du début des paiements

d'intérêts (c'est-à-dire à partir du 19.9.2019)

 

  1. Dommages immatériels causés par le comité pénal OLG-D'dorf

   (Mme Stein / Mme Glaeser / Mme Kirschner) en 2017 jusqu'à la découverte d'une procédure

   frauduleuse relative à Az 18 U 69/16

 

Le plaignant a été contraint pendant près de 3 ans (octobre 2016 à septembre 2019) à rechercher la

méthode de procédure frauduleuse des juges OLG devant Az 18 U 69/16, à recueillir des preuves,

auprès d'avocats réputés selon les preuves du jugement du 18.10.2017 pour discuter, se renseigner

sur RAe, et en même temps mener les contacts et travailler pour le NZB au BGH.

Ce n'étaient pas des tâches faciles pour un non-avocat. Les nerfs sont surchargés.

 

En outre, il y avait des demandes de paiement auprès du Trésor public pour les frais de contentieux frauduleux.

 

L'état de santé s'est détérioré à un tel point que le plaignant a également dû prendre des médicaments

pour des symptômes de maladies jusque-là inconnus.

 

Le coût des médicaments est un petit élément par rapport aux dommages matériels, mais les

conséquences des symptômes de santé ont maintenant été confirmées médicalement et sont

devenues encore plus graves.

Ni les médicaments ni les certificats médicaux ne sont présentés; Les juges, peu importe qui ils sont,

n'ont pas non plus le droit de se renseigner sur les maladies spécifiques du plaignant.

 

Il est évident que les dommages immatériels causés à l'époque en raison des près de 3 ans d'exposition

peuvent désormais être estimés à 24.000,- €. Le dommage immatériel a été causé par les fraudeurs et

les criminels d'OLG-D'dorf avec toge de Judges (Mme Stein/Mme Glaeser/Mme Kirschner)

 

  1. Demande d'exclusion pour les juges d'OLG Mme Dr. Hoffmann et Mme Gassan

 

Les juges OLG connus du plaignant (du 11e, 18e, 24e Sénat étaient des exécuteurs fidèles des

ordonnances LG). Ils savaient que même pour des crimes au sens du StGB, les gens ne seraient

pas envoyés en prison.

 

L'exclusion de Mme Gassan est due à son abus du § 348 ZPO à Az 2b o 76/20 (Az directement lié

au LG-Az 2b o 271/01 et à la NGA ou à la présente procédure);

La présidente actuelle, Mme Dr. Hoffmann recommandé et approuvé.

Tous deux sont donc exclus en tant que criminels de chacune des procédures du plaignant

 

De plus, tous les juges OLG nommés des 18e, 11e ou 24e sénateurs qui ont été accusés de procédures

frauduleuses / de perversion de la loi sont exclus (peu importe où ils siègent actuellement dans

quel Sénat ou Chambre).

 

Nous nous réservons le droit de faire d'autres présentations (sur les demandes d'exclusion et sur

le procès / motions).

 

  1. Avocat d'urgence

Malgré les efforts intenses, le soussigné n'a pas trouvé d'avocat qui serait disposé à prendre/transmettre

des mandats faisant l'objet de réclamations en dommages-intérêts en raison de la perversion des droits

du juge. La liste des RAe demandés est fournie avec le formulaire officiel de déclaration complété

circonstances personnelles et économiques

 

Un avocat d'urgence pour le demandeur selon § 78b ZPO est donc demandé pour la procédure

judiciaire commander.

 

Demandes;                                     Il est demandé:

 

  1. avec l'annulation de l'arrêt du 18 octobre 2017, de condamner Az 18 U 69/16 au pays défendeur,
  2. au demandeur 1.491.544,47 € plus les intérêts de 5 points de pourcentage au-dessus du taux de
  3. base depuis le 18 octobre 2017 à payer

 

  1. De condamner le pays défendeur à verser une indemnité raisonnable pour douleur et souffrance
  2. d'au moins 24 000,00 € plus des intérêts de 5 points de pourcentage au-dessus du taux de base
  3. depuis le 18 octobre 2017

 

Le tribunal est écrit pour traiter l'affaire rapidement et un Az est envoyé ici à l'avance

et de faire connaître la copie au représentant légal de NRW (en raison du délai de prescription).

 

Si vous avez des questions, veuillez les poser ici.

 

Sincères amitiés

 

 

Dr. Th. Sartoros

 

 

Investissements

 

OLG-D'dorf, arrêt Az 18 U 69/16 du 18 octobre 2017; Pages 1 et 29

 

La traduction est été fait avec le Programme Translator of Google;

souvent ils sont les nomes (allemand)  traduit !!

Dernière modification le dimanche, 07 mars 2021 21:01

 

 

 

 

 

Dr. Th. Sartoros

Laddringsweg 15

45219 Essen-Kettwig

5 décembre 2019

 

à l'avance par fax 0211-4971-548

Cour d`Appel de Düsseldorf

  1. Senat Civil

Mme Stein personnellement

Cecilien avenue 3

40474 Düsseldorf

 

Objet: information à Mme Stein indiquant qu'elle dirige sur le site Web de la requérante la liste des

               "délinquants sous l'habillement du juge"

       : Recommandation de disparaître de l'horizon du demandeur

 

Mme Martina Stein,

 

Vous avez pris la présidence du 18e Sénat civil du cour d´Appel de Düsseldorf en septembre 2015,

peu de temps après votre prédécesseur, Volker Malsch, le 3 septembre 2015, en raison d'une grave

inflexion juridique et de la honte des procès frauduleux (par exemple, manipulation de textes juridiques,

comme § 209 BGB a.F.) à Az 18 W 1/13 (et 18 W 44/14) démis de ses fonctions et

renvoyé à la retraite.

 

Étonnant lors de votre première comparution, vous avez été assisté par 2 personés (Mme Glaeser

et M. Anger) que ont secouru pour la fraude commise par Volker Malsch le 3.9.2015 au Az 18 W 1/13,

acceptée dans votre équipe et conservée, bien que vous deviez vous abstenir et amorcer un nouveau

parcours respectueux des droits. Les attentes ont malheureusement été déçues.

 

Étonnamment, c’est que vous ayez eu le plaisir d’accueillir ce Mme Fuhr à partir du 1.1.2017 dans le

Le 18ème Sénat (pour renforcer le processus de la fraudeuse Mme Glaeser) est actif.

C'était un signe d'avertissement.

 

Ce que vous et les autres délinquants signez par la suite prouve que, vous avez délibérément et délibérément

accepté le projet déjà planifiée de la 2b Civil Chambre de Tribunal regional du Düsseldorf, dernier avec une

résolution à Az 2b o 271/01 le 07/07/2014, (que a ordonné une fraude de processus avec motif, le

"délai de prescription pour le réclamations de dommages de l'ingénieur et de l'inventeur"), arrangé et soutenu.

(voir résolution du 30.8.2017 signée par le Mme Stein / Mme Fuhr / Mme Glaeser, et arrêt Az 18 U 69/16

du 18.10.2017 signé Mme Stein / Mme Glaeser / Mme Kirschner).

 

Ce qui est étonnant, c’est que vous ayez rejeté toutes mes demandes de partialité à l’encontre des criminels

Mme Glaeser et Mme Fuhr, qu’elles soient sans fondement ou irrecevables, même si vous saviez ce que

Mme Glaeser avec Malsch et Anger du 3.9.2015 au 18 W 1/13 (et 18 W 44/14) ont exécuté une fraude de

processus grave. Le processus de fraude ne semblait pas important.

 

Vous saviez aussi que contre le Mme Fuhr, prés le LG-Düsseldorf déjà 3 méthodes couru (2003, Az 2b o 250/03,

2008, Az 2b o 91/08 et 2012, Az 2b o 23 / 12) pour violation de la loi (en raison du contournement de l'article 1

de la EuGVÜ et de l'article 7 de l'EGBGB), ainsi que de la violation des lois en vigueur dans les années 1999-2001

en signant l "exposé des preuves" du 28.11.2000 Az 2b o 118/99 (lié à Az 2b o 271/01).

 

Celles-ci ont échoué parce que Stockschlaeder-Nöll l'avait intrigué, et le demandeur n'avait difficultés

pécuniaires.

 

Dans de nombreuses résolutions, vous m'avez accusé d'essayer avec les demandes de parti pris

"d'exclure les juges inconfortables de toute prise de décision" et les demandes comme "abusives"

et donc "irrecevables"! mis au rebut.

 

Les "juges inconfortables" étaient déjà connus sous le nom de "malfaiteurs", puis se sont révélés être

des "escrocs au procès" et des "criminels". Malgré l'avertissement (au Mme Fuhr du 10.10.2019

Az 18 W 26/19) de s'abstenir de décisions autoritaires, vous en avez une signé avec les signatures

des deux su nommé criminels.

 

Les opinion légales du demandeur écrit dans l´appel, que n’auraient donc jamais été accueillies

en appel, autres que le tribunal de 2me instance (ici du groupe cour d´appel Stein / Fuhr / Glaeser)

n’auraient pas porté atteinte au droit, d’être pas entendues.

C'était un abus de pouvoir judiciaire.

 

En même temps, avec l'aide des deux criminels (Mme Fuhr et Mme Glaeser), vous avez préparé

le prochain jugement frauduleux, pour cour d´appel Az 18 U 69/16, et le 30 août 2017; vous avez rejeté

la demande pour aide légale pour 18 U 69/16 au motif que, les demandes de dommages-intérêts

(dues aux crimes du bureau des impôts Mettmann dans les années 1979 à 2006) étaient déjà prescrit

le "30.6.2000".

 

Le su nommé jugement frauduleux du 30.8.2017 s'est poursuivi dans le jugement du 18.10.2017 sur

Az 18 U 69/16 où il était "couvert de lourds nuages ​​de fumée"; même les demandes en dommages-de santé

(qui expirent dans 30 ans !!) ont maintenant été "annulées" dans un délai d'un demi an, après votre

décision (du 18.10.2017).

 

Le processus de fraude à Az 18 U 69/16 a été découvert récemment et votre coopération aussi.

 

Elle-même et d'autres juges se présentent maintenant en tant qu'accusés et doivent révéler qui

avait été conçu le projet de "tentative de meurtre" du demandeur le 16 avril 2008 sur l'autoroute A5,

au sud de Karlsruhe, et qui avait exécuté le projet; qui avait commandé Mme Fuhr au 18. Sénat civil,

ainsi que ceux "qui ont ordonné" le processus de fraudes sur 30.8.2017 et 18.10.2017.

 

Vous avez clairement déclassées, les motifs d'appel du 18.8.2016 contre le verdict final du fraudeur,

Mme Stockschlaeder-Nöll et le Mme Gundlach, du 11 mai 2016 au LG-Az 2b o 271/01 (bloqué

pendant 16,5 ans) ou ont écrit Beaucoup de violations légales de la part des juges de tribunal régional (= LG),

et à la place d´appel vous avez utilisé l´écriture 22.9.2017, où est présenté tout comme "point de vue

du demandeur", et pour vous la signification de "l'indication" était claire.

 

En ignorant les motifs d'appel du 18.8.2016 dans votre jugement 18 U 69/16 du 18.10.17 tout es événements

importants des années 1979-2006 que ils sont contre l'utilisation de Mme Fuhr ont été délibérément éliminés,

de même que l'illégalité des anciens comités de LG, plafonnée et dissimulée.

 

La prétendue fraude de processus dans votre jugement du 18.10.17 à Az 18 U 69/16, les nombreux blocages

et les innombrables violations de loi de la part des juges de tribunal régional (= LG), vous avez a posteriori

"couvert" avec vos assistants (les deux criminels, Mme Fuhr et Mme Glaeser)

 

Dans plusieurs paragraphes des "réprimande" de 14 pages du 27/09/2019 au Az 18 W 26/19 (LG-Az

2b o 233/18 en raison des dépenses inutiles = NGA, pour l'activité de l'inventeur), les infractions de votre

équipe sont décrites plus en détail, et Il en résulte que vous avez, Mme M. Stein, délibérément préparé

et exécuté le processus de fraudes au Az 18 U 69/16 (LG-Az 2b ou 271/01), avec Mme Fuhr

et Mme Glaeser.

 

C'est pourquoi que vous avez gardé les 2 criminels (Mme Fuhr et Mme Glaeser) au 18ème Sénat.

    

Les preuves du jugement frauduleux au regard de la décision cour d´appel Düsseldorf du 30 août 2017

à Az 18 U 69/16 (signé Stein / Fuhr / Glaeser), qui ont ensuite été adoptées dans l'arrêt cour d´appel

(signé Stein / Glaeser / Kirschner) du 18.10.2017, sont inébranlables, c´est a dire que vous été d´accord

avec la proposition de Mme Glaeser et Mme Fuhr, que le "délai de prescription" des demandes en

dommages et intérêts fini à "30.6.2000" ou "au plus tard le 31.7.2006" et assumé

dans l'arrêt du 18.10.2017.

 

Les fraudes procédurales (avec les 6 mois et les 18 mois restants) dans des décisions antérieures

du cour d´appel (Malsch / Mme Glaeser / Anger) concernant Az 2b o 118/99, vous en avez repris

par exemple dans l'arrêt cour d´appel du 18.10.2017, et avec votre signature vous avez contribué

pour la continuation de la fraude. L'abus du pouvoir officiel est maintenant criminalisé.

Il s’agissait d’une attaque délibérée de la part de INSIDE contre les lois applicables.

 

Les décisions de coûts de manière incorrecte répétées et signées par vous dans plusieurs décisions

du cour d´appel opposées (en raison des frais peu élevés et forfaitaires engagés par le demandeur

-ou par AS-) ne sont pas des erreurs de droit, mais des infractions ciblées visant à nuire au demandeur,

même avec des sanctions financières moins lourdes. C'est encore un abus de pouvoir officiel.

 

Ainsi, outre les dommages considérables causés (par une fraude de processus à cour d´appel-Az

18 U 69/16 (LG Az 2b ou 271/01), à savoir expliquer toutes les demandes d'indemnisation du demandeur

pour les crimes commis par la bande criminelle d'infractions FA-Mettmann "30.6.2000" comme prescrit)

vous voulais aussi imposer des amendes, en imposant des frais de justice.

C'est du sadisme.

Vous pouvez éviter le dispute douloureux avec le plaignant au sujet de la préparation puis de l'exécution

des fraudes des 30.8.2017 et 18.10.2017 à Az 18 U 69/16, si vous décidez de renoncé pour le présidence

de 18.Sénat prés de la cour d´appel et cherchez un emploi ailleurs; Ma recommandation: si loin de l'horizon

du demandeur, de sorte que votre signature dans les procédures concernant le signataire ne se reproduise plus.

 

                     La perte de mon usine, de ma famille, de mes brevets, du travail de ma vie,

                                           vous aussi devez répondre.

 

Cette lettre figure également sur mon site Web (www.sartoros-dr-ing.de,

Catégorie: Cour d´Appel de Düsseldorf et se termine par l'appel:

 "Mme M. Stein, vous êtes une fraudeur, disparaissez de mon horizon "

      

 (Référence aux résolutions cour d´appel-DÜsseldorf: 3.9.2015, Az 18 W 1/13;

     décision du 30.8.2017, Az 18 W 25/16; Arrêt cour d´appel-Düsseldorf du 18.10.2017, Az 18 U 69/16;

    et autres décisions de cour d´appel / LG sur le LG-Az 2b o 271/01).

 

note

 

Si ce qui est écrit ci-dessus n’est pas vrai ou ne s’applique pas, il vous reste,

action en justice (autofinancement) pour tenter de persuader le demandeur de

Supprimer des entrées sur son site Web.                   ΟΨΟΜΕΘΑ

     

       D'autres ajouts au site pourraient suivre !!

 

Dr. Th. Sartoros

Dernière modification le samedi, 07 décembre 2019 21:13

Vorwort des Klägers

Der Leser erfahrt aus diesem Beitrag der RAe Schmitz-Witte & Collegen wie ein prozessunfähiger Rechtsanwalt (Plötzgen) die Aussicht auf Erfolg eines Amtshftungsverfahrens mit fehlerhaften und unbegründeten Anträgen vernichten kann, und wie die LG-Einzelrichterin Fr. Brecht die höhere Rechtsprechung umgeht um den Kläger für seine Internet-Veröffentlichungen zu bestrafen.

Über die Berufung mit dem angegebenen Az des OLG-D´dorf 24 U 131/15 ist noch nicht entschieden. Es folgt daher eine spätere Information 

 

Schmitz ∙ Witte & Collegen

Rechtsanwälte  ∙  Notar

 

                         

                                                                                                                                                              Schmitz ∙ Witte & Collegen ∙

                                                                                                                             Postfach 34 02 44 ∙ D - 45074 Essen


                                                                                                                                                                                       ESSEN
                                                                                                                                                 HERBERT SCHMITZ, Notar a.D.
                                                                                                                                                 zugl. Fachanwalt für Steuerrecht
                                                                                                                                                 KLAUS WITTE1
                                                                                                                                                 HANS-WERNER HEINRICHS2, Notar
                                                                                                                                                 NIKOLAI LASAROFF3
                                                                                                                                                 zugl. Fachanwalt für Arbeitsrecht

                                                                                                                                                 HAGEN
                                                                                                                                                 NIKOLAI LASAROFF3
                                                                                                                                                 zugl. Fachanwalt für Arbeitsrecht
                                                                                                                                                 Zweigstelle

                                                                                                                                                1 haftender Gesellschafter
                                                                                                                                                2 in Bürogemeinschaft
                                                                                                                                                3 kein Gesellschafter, nicht haftend

                                                                                                                                                  KOOPERATIONSPARTNER:

                                                                                                                                                ALFRED VAN DEN BORG
                                                                                                                                                zugl. Fachanwalt für Bau- und
                                                                                                                                                Architektenrecht
                                                                                                                                                LARS KÖPPEN
                                                                                                                                                zugl. Fachanwalt für Verkehrsrecht
                                                                                                                                                NICOLE BÖTTCHER
                                                                                                                                                zugl. Fachanwältin für Sozialrecht

                                                                                                                                               *2 ALEXANDER HUFENDIEK
                                                                                                                                                zugl. Fachanwalt für Gewerblichen
                                                                                                                                                 Rechtsschutz und Fachanwalt für
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Vorab per Telefax: 0211 4971 548


Oberlandesgericht Düsseldorf
Cecilienallee 3
40474 Düsseldorf

 

 

Essen, 16. Oktober 2015
NL/NR wr 15024558

 

 

In dem Rechtsstreit
Sartoros ./. Plötzgen
I-24 U 131/15
----------------------------

beantrage ich unter Abänderung des am 17. Juli 2015 verkündeten Urteils des Landgerichts Düsseldorf, Aktenzeichen: 2b O 102/14:

Der Beklagte wird verurteilt, an den Kläger 19.323,15 € nebst Zinsen in Höhe von 5 Prozentpunkten über dem Basiszinssatz seit dem 13. August 2013 zu zahlen.

 

 

Zur Begründung führe ich aus:

 

I.

Die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf hat den Klageantrag zu Unrecht abgewiesen, den der Kläger mit seiner Berufung weiterverfolgt. Das Urteil des Landgerichts Düsseldorf wird daher in vollem Umfang der Überprüfung durch das Berufungsgericht gestellt.

 

II.

 

Im Einzelnen ist folgendes zu rügen:

 

1.

Allgemein ist zu rügen, dass die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf den umfangreichen Vortrag des Klägers nicht gewürdigt hat und sich im Einzelnen mit dem Vortrag des Klägers nicht auseinandergesetzt hat. Zumal auch die Akten des Verfahrens 2b O 268/01 nicht beigezogen wurden; in dem Verfahren wurden 35 Beweisantritte unterbreitet.

 

Der Klageantrag des Klägers wird mit „kurzen und knappen“ Ausführungen „weggebügelt“, was nach diesseitiger Auffassung „einzig und allein“ der Person des Klägers geschuldet ist.

 

Dies sei vorangestellt, da unweigerlich der Eindruck entsteht, dass der Vortrag des Klägers, auch wenn er „schlüssig“ erfolgt, einfach nicht berücksichtigt und gewürdigt, da man ihm „kein Recht zu sprechen möchte“, was, wie gesagt, sicherlich seiner Person geschuldet ist.

 

2.

Die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf hat fehlerhaft lediglich mit einem Satz und ohne weitere Feststellungen und Ausführungen ausgeführt: „Der Vortrag des Klägers zu den Pflichtverletzungen des Beklagten und dem infolgedessen nutzlos gezahlten Honorar ist nicht schlüssig“.

 

Diesseits wurde seitenweise - auch im parallel laufenden Prozesskos-tenhilfeverfahren - zu den vorgenannten Voraussetzungen vorgetragen, so dass es sich die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf nicht derart einfach machen kann und die Ansprüche des Klägers lediglich mit einem Satz „wegbügeln“ kann.

 

Im Einzelnen wurde u.a. folgendes vorgetragen, was die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf rechtsirrig nicht gewürdigt hat:

In dem vorliegenden Verfahren geht es ausschließlich um die im Verfahren 2b O 268/01 entstandenen Kosten bzw. Schaden verursachenden Handlungen und Versäumnisse des Beklagten. Wie ausgeführt, sind in diesem Verfahren 35 Beweise angetreten worden und die Einzelrichterin hat die Akten nicht beigezogen.

 

Die nachfolgend benannten Beweise wurden ebenfalls erstinstanzlich aufgeführt.


I. Sachverhalt

 

-2001-

 

Der Kläger beauftragte zuerst im Dezember 2000 den Beklagten mit der Bearbeitung einer Amtshaftungsklage, die er am 5. Februar 2001 beim Landgericht Düsseldorf eingereicht hat; dieses Verfahren erhielt (später) das Aktenzeichen 2b O 271/01 und läuft heute noch.

 

Beweis:

 

1. Klageschrift vom 5. Februar 2001 zum Aktenzeichen 2b O 271/01.;

2. Beziehung der Akte 2b O 271/01

 

Im März/April 2001 ist der Beklagte beauftragt worden auf der Basis der neuen Urteile / Beschlüsse des Finanzgerichts Düsseldorf auch eine zweite Amtshaftungsklage zu fertigen. Mehrere dicke Ordner mit Beweisen sind dem Beklagten ausgehändigt worden. Zur Vorbereitung der Klage sind Gespräche mit dem Beklagten u.a. über rechnerische Methode zur Ermittlung des Schadens geführt worden. Aus den Akten des Verfahrens 2b O 118/99 sind dem Beklagten Unterlagen/Belege über Pumpen sowie Kalkulationen als Beweise für die Klage herangetragen worden, die er nicht verwertet hat.

 

Am 31. August 2001 äußerte der Beklagte, dass seine Berechnungen des Schadens einen Denkfehler enthalten.

Beweis: Schreiben des Beklagten vom 31. August 2001, bereits eingereicht.

 

Es folgten weitere Gespräche mit dem Beklagten und im Schreiben vom 18. November 2001 bestätigte der Beklagte, dass er den rechnerischen Vorschlag des Klägers (bzw. der Uni-Absolventin Isabella Gräfin M., frühere Gehilfin des RA Dr. Küntzel) als plausibel, erachtet und diesen dem Gericht zusenden wird. Der Beklagte war informiert von wem die Berechnung stammte und war verpflichtet, die Berechnung zu überprüfen.

 

Beweis: Schreiben des Beklagten vom 18. November 2001, S.1, Abs.3, bereits eingereicht.

 

Die Klageschrift ist schließlich am 20. November 2001 beim Landgericht Düsseldorf mit einem PKH-Antrag eingereicht worden und hat (später) das Aktenzeichen 2b O 268/01 erhalten. Die Überprüfung der Schadensberechnung hat der Beklagte nicht durchgeführt.


Beweis: Beiziehung der Akte des Landgerichts Düsseldorf zu 2b O 268/01.

 

Ende des Jahres 2001 haben die seitens des Beklagten gestellten Klageanträge eine Forderung in Höhe von 3.918.827,88 € zum Gegenstand gehabt.

 

-2002-

 

Am 1. Januar 2002 trat das neue Verjährungsrecht in Kraft (EGBGB 229 § 6).

 

Während der Abwicklung des Verfahrens 2b O 268/01 (auf Grund einer Entscheidung der damaligen Vorsitzenden Richterin Frau Tannert ist die Korrespondenz im Verfahren 2b O 118/99 geführt worden) kritisierte der Streitgegner (Nissen, OFD-D´dorf) die Mängel in den Schriftsätzen des Beklagten und die fehlerhaften Berechnungsmethoden in dem Verfahren 2b O 268/01. Der Beklagte hat sich jedoch nicht beeindrucken lassen und seine Anträge nicht geändert.

 

Beweis:

 

1. Korrespondenz mit dem Landgericht zu dem Verfahren 2b O 268/01, geführt unter dem Az.2b O 118/99;

2. Beiziehung der Akte des Landgerichts Düsseldorf zu 2b O 118/99.

 

Am 12. November 2002 fand eine Anhörung der Parteien statt.

 

Die Berichterstatterin hat den Beklagten darauf hingewiesen, dass „Bedenken“ in Bezug auf die Kausalität bestehen und dass seine Klage (2b O 268/01) nicht substantiiert sei, mithin nicht schlüssig sei. Zudem hat der Vertreter des beklagten Landes zu Protokoll erklärt: Die Bankpfändungen waren kausal für den geschäftlichen Misserfolg des Unternehmens des Klägers, aber die den Bankpfändungen zu Grunde liegenden Steuerbescheide waren nicht rechtswidrig. Der Beklagte hat die Bestätigung in seinen Schriftsätzen nicht erwähnt, obwohl ihm diese bekannt war. Dadurch hat der Beklagte die Erfolgsaussichten der Klage geschmälert.

 

Beweis:

 

1. Anhörungsprotokoll vom 12. November 2002 zu 2b O 268/01;

2. Beiziehung der Akte des Landgerichts Düsseldorf zu 2b O 268/01.

 

Der Beklagte hat auf die Warnungen der Richterin nicht reagiert und die vorhandenen Beweise zur Kausalität nicht erbracht und die Klage auch weiterhin unschlüssig belassen.

 

Der alarmierte Kläger reagierte mit weiteren Warnungen und forderte den Beklagten auf, die kritischen Anmerkungen des Gerichts zu berücksichtigen und u.a. die Darstellung schlüssig vorzutragen und die Kausalität (Handlungen des Finanzamtes) nachzuweisen.

 

Beweis:

 

Schreiben des Klägers vom 20. Dezember 2002 an den Be-klagten, liegt dem Landgericht bereits vor (auch als Anlage zum Schreiben vom 16. Dezember 2002 an das Gericht zu 2b O 118/99 beigefügt).

 

Der Beklagte hat trotz der wiederholten Hinweise des Klägers und des Landgerichts nicht reagiert und lies die fehlerhaften und übertriebenen Anträge in dem Verfahren 2b O 268/01 unverändert bestehen.

 

-2003-

 

Am 4. April 2003 erging der PKH-ablehnende Beschluss in dem Verfah-ren 2b O 268/01. Die PKH-Ablehnung stützte sich auf die fehlenden Beweise zur Kausalität und auf die fehlerhaften Berechnungsmethoden des Schadens. Das Gericht wies darauf hin, dass die Berechnungen des Schadens im spekulativen Bereich liegen und insofern keine Basis für eine Schätzung des Mindestschadens liefern würden. Die PKH-Teil-Anträge bezüglich des Finanzamtes AVT/ESt-86-92 sind ausdrücklich zurückgestellt worden, damit die Parteien ausführlich vortragen können.

 

Beweis: LG-Beschluss vom 4. April 2003 zu 2b O 268/03 (siehe u.a. Seite 7 ff).

 

Am 19. April 2003 versuchte der Kläger mit einem sechsseitigen Schrei-ben den Beklagten dazu zu bewegen, die Hinweise des Landgericht im PKH-Beschluss vom 4. April 2003 zu berücksichtigen, seine Schriftsätze bzw. die sofortige Beschwerde zu berichtigen und zu ergänzen und die Beweise betreffend die Pumpen des Klägers und Beweise zur Kausalität (Handlungen des Finanzamtes als Ursache für die Pleite des Unterneh-mens des Klägers) an das Landgericht nachzusenden.

 

Beweis: Schreiben des Klägers vom 19. April 2003 an den Be-klagten, liegt dem Landgericht bereits vor.

 

Am 2. Mai 2003 legte der Beklagte sofortige Beschwerde gegen den LG-Beschluss vom 4. April 2003 zu 2b O 268/01 ein. Die seitens des Landgerichts kritisierten Fehler und Mängel werden jedoch nicht berichtigt. Stattdessen sind in der Beschwerdeschrift Ausführungen enthalten, die aber weder die Kausalität begründen, noch die Berechnungen des Schadens berichtigen. Die ihm übergebenen Beweise für die Handlungen des Finanzamtes und Ordner hat der Beklagte zurückgehalten.

 

Beweis: Sofortige Beschwerde vom 2. Mai 2003 gegen den PKH-ablehnenden Beschluss vom 4. April 2003 zu 2b O 268/01.

 

Am 1. Juli 2003 und 9 Juli 2003 setzten sich der Kläger und der Beklag-ten zusammen und einigten sich auf einige Berichtigungen und Ergänzungen der sofortigen Beschwerde gegen den LG-Beschluss vom 4. April 2003 zu 2b O 268/01. Trotzdem hat der Beklagte die Vereinbarungen nicht eingehalten.

 

Beweis:

 

1. Schreiben vom 1. Juli 2003 des Klägers an den Beklagten, welches dem Beklagten vorliegt;

2. Schreiben vom 10 Juli 2003 des Klägers an den Beklagten, welches als Anlage dem Gericht am 14. November 2014    

     übersandt wurde.

 

Am 8. Oktober 2003 erwiderte der Beklagte dem Streitgegner (OFD-Düsseldorf) betreffend die Verzinsung des Schadens und wiederholte dabei dieselben fehlerhaften Ansichten und Ausführungen im Klageverfahren.

 

Beweis: Schriftsatz vom 8. Oktober 2003 des Beklagten an das Landgericht zu 2b O 268/01.

 

Weitere Beweise mit Anregungen seitens des Klägers an den Beklagten bis einschließlich Juni 2004 liegen dem Gericht in den Akten zu den Verfahren 2b O 29/08 und 2b O 268/01 vor.

 

Beweis: Beiziehung der Akten des Landgerichts Düsseldorf zu 2b O 29/08 und 2b O 268/01.

 

-2004-

 

Am 23. Juli 2004 ergingen die OLG-Beschlüsse zu 18 W 43/03 (betreffend 2b O 268/01), 18 W 42/03 (betreffend 2b O 118/99), 18 W 22/03 (betreffend 2b O 271/01).

 

Auch in den OLG-Beschlüssen vom 23. Juli 2004 sind die Mängel der Klageanträge des Beklagten als Grund für die Zurückweisung der sofortigen Beschwerden gegen die PKH-ablehnenden Beschlüsse vom 4. April 2003 angeführt.

 

Beweis: OLG-Beschluss vom 23. Juli 2004 zu 18 W 43/03 (2b o 268/01), OLG-Beschluss vom 23. Juli 2004 zu

                     18 W 22/03 (2b o 271/01).

 

Der Kläger war erneut alarmiert. Er hatte jetzt, um weiter prozessieren zu können (und um die Verjährung der Ansprüche in dem Verfahren 2b O 268/01 zu unterbrechen) nur noch eine Chance. Er muss Klagen ein-reichen und die Gerichtsgebühren für die oben genannten drei Klagen zahlen. Der Kläger befindet sich aber in äußerster finanzieller Not. Der Beklagte hatte den Kläger so in eine missliche Lage versetzt. Für die Klageverfahren war zudem ein Rechtsanwalt vorgeschrieben.

 

Der Kläger schaffte es trotzdem – mit Unterstützung - die erste Rate für alle drei Klagen (2b O 268/01, 2b O 271/01, 2b O 118/99) am 13. August 2004 zu bezahlen und die Prozesse weiterhin als Klageverfahren zu führen, da der Kläger nach Äußerung des Oberlandesgerichts Düsseldorf - 18.Senat - bis zum 13. August 2004 nur PKH-Verfahren geführt hatte.

 

Der Beklagte hat am 13. August 2004 für die oben genannten Verfahren bzw. für das Verfahren 2b O 268/01 neue (um den Faktor 8,00 d.h. von 3.918.827,88 € auf 489.498,42 €) reduzierte und wiederum fehlerhafte, wirre und aussichtslose Klageanträge gestellt, ohne diese zu begründen und versprach in einem gesonderten Schriftsatz, die Klage zu begründen (siehe auch erstinstanzlicher Anhang). Die übertriebenen und wirren Anträge vom 20. November 2001 dienten nur der Sicherung weiterer Honorarforderungen, was im LG-Beschluss vom 24. August 2006 ge-schildert wird. Die Leistungen des Beklagten wurden vom Gericht als nutzlos eingestuft.

 

Beweis: Klageanträge vom 13. August 2004 zu 2b O 268/01 (unbegründet geblieben).

 

Mit den Klageanträgen vom 13. August 2004 beantragte der Beklagte auch die Zustellung der Klage, und zwar ohne Zahlung der weiteren Gerichtsgebühren. Er bat zudem um Fristverlängerung bis Ende September 2004 (vgl. Klage vom 13. August 2004, S. 2).

Mit Klageeinreichung ist die Verjährung der Ansprüche unterbrochen worden.

 

Am 28. August 2004 setzten sich der Kläger und Beklagte zusammen und diskutieren über das weitere Vorgehen in den Verfahren. Der Kläger stellt dem Beklagten die Wahl: entweder werden die Prozesse ordentlich weitergeführt oder die Mandate sollten niedergelegt werden. Mit Schrei-ben vom 2. September 2004 mahnte der Kläger eine Rückmeldung beim Beklagten an.

 

Beweis: Schreiben vom 28. August 2004 des Klägers an den Beklagten

 

Der Kläger bat den Beklagten ferner, ihm die übergebenen Ordner zu der nächsten Besprechung mitzubringen, damit ihm die dort enthaltenen Beweise (betreffend die Kalkulationen der Fertigungskosten der Pumpen und der Investitionen in Griechenland etc.) vorgezeigt werden können.

 

Am 17. September 2004 setzten sich der Kläger und Beklagte erneut zusammen, um über die Mängel und Fehler in den Klagen zu sprechen. Die Ordner hat der Beklagte aber nicht mitgebracht. Das Gespräch gestaltet sich sehr mühsam, weil der Beklagte Schwierigkeiten hatte, technische Fertigungsprobleme betreffend die „intelligenten Teile der Pumpen“ zu verstehen. Zudem war er – so der Eindruck des Klägers - gedanklich stets abwesend; er dachte / plante seinen Rückzug aus Düsseldorf; er wohnte bereits in Ahrweiler, wovon er auch gesprochen hat.

 

Um seine seit August 2004 andauernde Verzögerung zu „verschleiern“, zeigte der Beklagte dem Landgericht erst am 30. September 2004 an, dass sich der Kläger in Griechenland befindet. Am 19. Januar 2005 zeigte er dem Gericht an, dass der Kläger eine serienreife Pumpe bei seiner letzten Griechenlandreise und den Zeugen Petronikolos aufgespürt hätte und somit könne er (der Beklagte) nun die Klagebegründung zügig vorbereiten. Der Beklagte hatte den Kläger pflichtwidrig nicht darüber belehrt, dass ein Exemplar der Pumpe und der Pumpenteile dem Gericht hätte vorgezeigt werden müssen. Diesen Mangel hatten die OLG-Richter am 23. Juli 2004 gerügt.

 

Beweis: Schreiben des Beklagten vom 30. September 2004 und vom 19.Januar 2005 an das Landgericht zu 2b O 268/01.

 

Der Beklagte bereitete weiterhin seinen Rückzug aus Düsseldorf vor und stellte den Antrag auf Streitwertfestsetzung.

 

-2005-

 

Am 25. Januar 2005 erließ das Landgericht in dem Verfahren 2b O 268/01 einen Streitwertbeschluss.

 

Beweis: LG-Beschluss vom 25. Januar 2005.

 

Am 25. Januar 2005 erging ein Schreiben des Landgerichts an den Be-klagten in Bezug auf seinen Antrag und dem Hinweis, dass die Ent-scheidung über den Antrag nach § 14 GKG solange zurückgestellt wird, bis die angekündigte Klagebegründung eingeht. Weil sich der Beklagte aber nicht gemeldet hat und keine Reaktion erfolgte, erging am 31. März 2005 ein Schreiben des Landgerichts an den Beklagten mit einer sechswöchigen Ausschlussfrist.

 

Beweis: Schreiben des Landgerichts vom 25. Januar 2005 / 31. März 2005 an den Beklagten.

 

Der Kläger wehrte sich mit Schreiben vom 29. März 2005 gegen den Streitwertfestsetzungsbeschluss und am 12. April 2005 wurde das als Gegenvorstellung eingestufte Schreiben des Klägers gegen den Streitwertfestsetzungsbeschluss seitens des Landgerichts zurückgewiesen und an das Oberlandesgericht weitergeleitet.

 

Beweis: Beschluss des Landgerichts vom 12. April 2005.

 

Am 12. April 2005 übersandte der Kläger eine umfangreiche Klagebe-gründung an das Gericht und fügte die Fotos von den Pumpen und Pumpenteilen bei. Weiterhin waren Erklärungen über Kalkulationen und Fertigung der intelligenten Pumpenteile im Werk des Erfinders enthalten, welche der Beklagte bis zu diesem Zeitpunkt pflichtwidrig für sich zurückbehalten hatte.

 

Beweis: Klagebegründung vom 12. April 2005 des Klägers mit Fotos der Pumpen und Pumpenteile

 

Am 14. April 2005 stellte der Kläger erneut den PKH-Antrag für die sei-tens des Landgerichts / Oberlandesgerichts mit den Beschlüssen vom 4. April 2003 / 23. Juli 2004 noch nicht entschiedenen Anträge auf Schadenersatz betreffend die Handlungen des Finanzamtes Mettmann in Sachen AVT und EST-86-92 zu 2b O 268/01. Dies hätte der Beklagte aber machen müssen, was er aber unterlassen hat.

 

Beweis: PKH-Antrag des Klägers vom 14. April 2005 zu 2b O 268/01 (betr. AVT u. ESt).

 

Am 18. April 2005 legte der Beklagte plötzlich seine Mandate nieder, und zwar ohne einen Entwurf der Klagebegründung für das Verfahren 2b O 268/01 vorbereitet zu haben. Zur Fortführung des Klageverfahrens wird aber ein neuer Rechtsanwalt benötigt, was auch der Beklagte anmerkte. Somit sind die Kosten des Nachfolgers erzwungen. Ein neuer Rechtsanwalt war rechtlich unverzichtbar (siehe Schreiben des Beklagten vom 18. April 2005.)

 

Der Beklagte hat sich in den zwei Jahren (4. April 2003 bis 18. April 2005) auch nicht dafür eingesetzt, dass das Landgericht eine Entscheidung betreffend die in den am 4. April 2003 zurückgestellten PKH-Teil-Anträgen betreffend AVT/ESt-86-92 verkündet.

 

Beweis: Anzeige des Beklagten vom 18. April 2005 - Niederlegung des Mandats zu 2b O 268/01.

 

Mit Beschluss vom 11. Mai 2005 lehnte das Landgericht die seitens des Klägers beantragte Verbindung der Verfahren 2b O 268/01 und 2b O 271/01 ab. Ebenfalls wurde eine beantragte Fristverlängerung für die Klagebegründung abgelehnt.

 

Beweis: Beschluss des Landgerichts vom 11. Mai 200zu 2b O 268/01.

 

Am 1. Juni 2005 wurde die am 9. Mai 2005 erhobene Beschwerde gegen den Beschluss des Landgerichts vom 12. April 2005 zu 2b O 268/01 (Streitwertfestsetzung) nicht abgeholfen und an das Oberlandesgericht weitergeleitet.

 

Am 12. Juli 2005 erließ das Oberlandesgericht -18. Senat - einen Sammelbeschluss zu den Aktenzeichen 18 W 22/03 (betreffend 2b O 271/01), 18 W 42/03 (betreffend 2b O 118/99), 18 W 43/03 (betreffend 2b O 268/01) und wies die erhobenen Gegenvorstellungen des Klägers vom 12. August 2004, 24. März 2005, 25. April 2005, 9. Juni 2005 und 1. Juli 2005 als unbegründet zurück.

 

Beweis: Beschluss des Oberlandesgerichts vom 12. Juli 2005 zu 18 W 43/03 (betreffend 2b O 268/01).

 

Am 12. Juli 2005 erließ das Oberlandesgericht -18. Senat - einen Beschluss zu 18 W 21/05 (betreffend 2b O 268/01), mit dem die sofortige Beschwerde gegen den Streitwertfestsetzungsbeschluss des Landgerichts vom 25. Januar 2005 als unbegründet zurückgewiesen wurde.

 

Beweis: Beschluss des Oberlandesgerichts vom 12. Juli 2005 zu 18 W 21/05 (betreffend 2b O 268/01).

 

Am 9. September 2005 stellte der Kläger den PKH-Antrag betreffend die Klageanträge vom 13. August 2004 des Beklagten und übersandte ihn erneut an das Landgericht am 20. September 2005. Somit versuchte der Kläger alles Mögliche zu tun, um das Verfahren zu retten, was ihm aber auf Grund der wirren Anträge und der unschlüssigen Klage des Beklagten vom 13. August 2004 nicht gelang.

 

-2006-

 

Mit OLG-Beschluss vom 16. März 2006 zu 18 W 28/05 wurde die Beschwerde des Klägers gegen die LG-Ablehnung des Antrags auf Verbindung der Verfahren 2b O 268/01 und 2b O 271/01, verworfen. Die Verwerfung wurde mit dem erforderlichen Anwaltszwang im Klageverfahren begründet.

 

Beweis: OLG-Beschluss vom 16. März 2006 zu 18 W 28/05 (betreffend 2b O 268/01).

 

Am 4. April 2006 drängte der Kläger die 2b-Zivilkammer auf eine Entscheidung über die ursprünglichen und noch nicht entschiedenen PKH-Teil-Anträge betreffend AVT u. ESt-86-92.

 

Am 15. April 2006 wurde dem Landgericht gemeldet, dass die Gerichtsgebühren für das Verfahren 2b O 268/01 vollständig einbezahlt worden sind, so dass auf Zustellung der Klage vom 13. August 2004 gedrängt wird.

 

Am 24. August 2006 entschied die 2b-Zivilkammer über die Zustellung der Klage 2b O 268/01

 

Beweis: LG-Beschluss vom 24. August 2006 zu 2b O 268/01; die Klage wird vAw zugestellt.

 

Am 24. August 2006 lehnte die 2b-Zivilkammer den PKH-Antrag des Klägers vom 9. September 2005 für das Verfahren 2b O 268/01 ab. Als Begründung werden u.a. die Schwierigkeiten der Zuordnung der PKH-Zahlen mit den Anträgen des Beklagten aufgeführt. Daraus ergibt sich die Verletzung der Pflichten des Beklagten gemäß § 280 BGB.

 

Beweis: LG-Beschluss vom 24. August 2006 zu 2b O 268/01.

 

Am 19. Dezember 2006 meldete der Kläger der 2b-Zivilkammer im Verfahren 2b O 268/01 zwei weitere Niederlagen des Finanzamtes Mettmann beim Finanzgericht Düsseldorf und die Erstattung eines Teils der bis dahin zurückbehaltenen bzw. gepfändeten Einkommen- und Umsatzsteuer-Erstattungsbeträge 1979-1991.

 

Somit ist die Verjährung aller Schadensersatzansprüche (alt und neu) in dem Verfahren 2b O 268/01 erneut unterbrochen worden.

 

-2007-

 

Am 8. Januar 2007 wurde die 2b-Zivilkammer erneut aufgefordert, die Gründe für die noch nicht erfolgte Zustellung der Klage zu 2b O 268/01 zu benennen.

 

Am 4. Juli 2007 erging der OLG-Beschluss zu 18 W 2/07 (betreffend 2b O 268/01), mit dem die sofortige Beschwerde gegen den LG-Beschluss vom 24. August 2006 (betreffend die ursprünglichen vom 20. November 2001 und Teil-PKH-Anträge für AVT und EST-86-92) als unbegründet zurückgewiesen wurde. Daraus ergeben sich die Versäumnisse des Beklagten.

 

Beweis: OLG-Beschluss vom 4. Juli 2007 zu 18 W 2/07 (betreffend 2b O 268/01).

 

Mit dem OLG-Beschluss vom 4. Juli 2007 endete (nach BGB a.F.) die Hemmung der Verjährung des ersten PKH-Antrags vom 20. November 2001 des Beklagten.

 

Somit ist der Schaden, verursacht seitens des Beklagten betreffend AVT und ESt-86-92, zum ersten Mal erkennbar geworden.

Am 10. September 2007 und am 6. Dezember 2007 wurde die 2b-Zivilkammer daran erinnert, die Klage zu 2b O 268/01 zuzustellen.

 

- 2008 bis Ende 2011 -

 

Mit Verfügung vom 17. Januar 2008 wurde ein erster Termin für eine mündliche Verhandlung am 7. Mai 2008 in dem Verfahren 2b O 268/01 bestimmt.

 

Beweis: Verfügung vom 17. Januar 2008 zu 2b O 268/01.

 

Die Klage zu 2b O 268/01 (d.h. nur die Klageanträge vom 13. August 2004 ohne Begründung) ist dem beklagten Land erst gegen Ende Januar 2008 zugestellt worden.

 

Am 30. Januar 2008 stellte der Kläger einen neuen PKH-Antrag für das Verfahren 2b O 268/01 und fügte erneut Bilder von Pumpen und Pum-penteilen bei, und ergänzte ihn am 17. Februar 2008 und am 29. Februar 2008 mit Preiskalkulationen und Nachweisen der FG-Prozesskosten, die der Beklagte dem Gericht nicht zugesandt hatte. Das Fehlen der Unterlagen ist nach einer Akteneinsicht festgestellt worden.

 

Am 9. April 2008 erfolgte seitens Rechtsanwalt Minnerop die Klageerwiderung zu 2b O 268/01 ab. Er schließt seinen Vortrag mit der Anmer-kung: „Die Klage (des hiesigen Beklagten) ist nach allem ersichtlichen abzuweisen, für ein schlüssiges Vorbringen fehlt es nachhaltig und sozusagen an allem“.

 

 

Am 16. April 2008 wurde der Antrag des Rechtsanwalt Borgelt auf Terminverlegung bestätigt, damit er die Akten des Verfahrens 2b O 268/01 einsehen kann und es wurde ein neuer Verhandlungstermin für den 21. Juli 2008 anberaumt.

 

Nach Akteneinsicht stellte Herr Rechtsanwalt Borgelt am 27. Juni 2008 den Antrag auf Verlegung des Termins vom 21. Juli 2008 unter Hinweis auf den Umfang und der Kompliziertheit des Verfahrens 2b o 268/01 und legte schließlich am 11.Juli 2008 sein Mandat nieder.

 

Die Ereignisse von Juni 2008 bis zum 16. März 2011 sind dadurch gekennzeichnet, dass die LG-Richterinnen Engelkamp-Neeser und Stockschlaeder-Nöll ohne Erfolg versucht hatten, den Kläger als partiell prozessunfähig auszuschalten und gleichzeitig die eingeschalteten Rechtsanwälte (Goumagias, Weidemann, Klöpper) aus der Entzifferung und Berichtigung der fehlerhaften Anträge vom 13. August 2004 des hiesigen Beklagten zu halten.

 

Die Einschaltung des Rechtsanwalts Weidemann für das Klageverfahren 2b O 268/01 war insoweit erforderlich, weil der Verhandlungstermin am 16. März 2011 bereits feststand (Anwaltszwang). Der dafür bezahlte Vorschuss in Höhe von 315,44 € war angemessen.

 

Als Herr Rechtsanwalt Weidemann am 13. März 2011 den Antrag auf Verschiebung des Verhandlungstermins vom 16. März 2011 stellte, damit er über das medizinische Gutachten vom 11. März 2011 mit Herrn Dr. Lutz sprechen kann, wurde sein Antrag abgelehnt.

Am 16. März 2011 fand die mündliche Verhandlung zu 2b O 268/01 statt.

 

Die Klage wurde mit einem ersten Versäumnisurteil abgewiesen.

 

Gegen das Versäumnisurteil vom 16. März 2011 legte Herr Rechtsanwalt Weidemann Einspruch ein. Danach verzichtet Herr Rechtsanwalt Weidemann auf die Fortführung des Mandats.

 

Ein erneuter Versuch, die Anträge des hiesigen Beklagten vom 13. Au-gust 2004 nachzuvollziehen, erfolgte im September 2011 seitens Herrn Rechtsanwalt Klöpper, der aber die Gerichtsakten benötigte. Er rief bei Gericht an und sprach mit der Vorsitzenden Stockschlaeder-Nöll, die ihm anriet, das Mandat nicht anzunehmen.

 

Beweis: Aktennotiz der Richterin Stockschlaeder-Nöll vom 27. September 2011, als Anlage beigefügt.

 

Die Klage 2b O 268/01 hätte nach ihrer Aussage keine Aussicht auf Erfolg. Der Termin in dem Verfahren am 5. Oktober 2011 stand fest.

 

Danach verzichtet Herr Rechtsanwalt Klöpper auf die Übernahme des Mandats.

 

Der Kläger versuchte am 4. Oktober 2011 mit einem Antrag nach § 121 ZPO einen Rechtsanwalt seitens des Gerichts bestimmen zu lassen und benannte drei Rechtsanwälte, die aber Zeit benötigten, um die Akten einzusehen und zu studieren. Als Bedingung für die Übernahme des Mandats forderten sie zudem eine Verschiebung des Verhandlungstermins vom 5. Oktober 2011.

 

Am 5. Oktober 2011 fand die mündliche Verhandlung zu 2b O 268/01 statt und der Antrag nach § 121 ZPO wurde ignoriert. Am 12. Oktober 2011 wurden der PKH-Antrag und die Klage 2b O 268/01 (mit den unbegründeten Anträgen des hiesigen Beklagten) durch ein zweites Ver-säumnisurteil abgewiesen.

 

- 2012 bis Ende Juli 2013 -

 

Der Unterzeichnete unternahm einen erneuten Versuch am 18. Januar 2012, um die Klage 2b O 268/01 im Berufungsverfahren 18 U 223/11 zu retten und stellte für den Kläger den PKH-Antrag für die Berufungsverfahren.

 

Der PKH-Antrag für die Berufung 18 U 223/11 wurde am 9. Juli 2012 seitens des Oberlandesgerichts -18. Senat - abgelehnt und die Rechts-beschwerde nicht zugelassen. Am 11. Juli 2012 wurde die Beschwerde gegen den die PKH-ablehnenden LG-Beschluss vom 12. Oktober 2011 ebenfalls zurückgewiesen.

 

Auch die sofortige Beschwerde vom 26. Juli 2012 gegen den OLG-Beschluss vom 9. Juli 2012 zu 18 U 223/11 hatte keinen Erfolg.

Mit einer Nichtzulassungsbeschwerde vom 12. Dezember 2012 versuch-te Herr Rechtsanwalt Vorwerk, beim BGH das Revisionsverfahren (PKH-Antrag vom 1. März 2013 für die NZB) einzuleiten. Der BGH lehnte mit Entscheidung zu III ZR 399/12 vom 27. Juni 2013 die NZB ab.

 

Somit wurde am 27. Juni 2013 das Verfahren 2b O 268/01 endgültig abgeschlossen.

 

Der dem Kläger bis dahin (27. Juni 2013) durch die Fehler und Versäumnisse des Beklagten entstandene Schaden hat sich endgültig manifestiert, und zwar durch die sodann erfolgte Entscheidung des BVerfG vom 13.08.2013 zu Az.:2 BvR 1701/13. Ab diesen Zeitpunkt sind auch die Verzugszinsen zu berechnen.

 

II. Kausalität/Fehler und Versäumnisse des Beklagten im Verfahren zum Az.:2b O 268/01

 

Aus der vorherigen und bisherigen Schilderung des Sachverhalts gehen die Handlungen des Klägers hervor, um sowohl den ursprünglichen PKH-Antrag vom 20. November 2001 als auch die Klage vom 13. August 2004 zu 2b O 268/01 zu retten, damit der Beklagte nicht behaupten kann, der Kläger hätte es versäumt, das Klageverfahren 2b O 268/01 mit einem anderen Rechtsanwalt zu retten.

 

Aus dem Sachverhalt fällt sofort auf, dass der Beklagte niemals den Kläger informiert hat, welche Beweise für die Pumpen, Maschinen und Fertigung erforderlich waren, und wie die Bescheinigungen der zum Kauf der Pumpen interessierte Kunden aussehen sollten. Ferner erfolgten keine Hinweise an den Kläger, was dieser vorzulegen habe, damit die Klagen schlüssig gemacht werden können. Ebenfalls wurde nie darüber gesprochen, welche Kosten aus den Prozessen dem Kläger entstehen würden.

 

Der Beklagte konzentrierte sich stattdessen auf die Urteile / Beschlüsse des Finanzgerichts und auf die Verzinsung des Schadens, ohne zu er-klären, wie der Schaden ermittelt wird.

 

a. Anträge vom 20.11.2001 kausal für die Ablehnung der beantragten PKH und für die spätere Zahlung der

       Gerichtsgebühren

 

Mit den am 20. November 2001 gestellten Anträgen für Prozesskostenhilfe stellte der Beklagte die Weichen für den Misserfolg des

PKH-Verfahrens zu 2b O 268/01.

 

Auf der 1/2 Seite der Klageschrift vom 20. November 2001 machte der Beklagte folgenden Anspruch geltend:

 

„Der Beklagte wird verurteilt dem Kläger DM 7.654.782,-- zu zahlen, nebst gesetzlichen Verzugszinsen, und zwar ab Rechtshängigkeit in Höhe von jährlich 5 Prozentpunkte über dem Basiszinssatz nach § 1 des Diskont-Überleitungsgesetzes.“

 

Auf Seite 4 der Klageschrift verweist der Beklagte auf Abschnitt III, wo der Schaden aus dem Geschäft mit den Gebrüdern Apostolopouloi, Verlust des AVT Auftrages, und der unberechtigten Vereinnahmung von Einkommensteuer, detailliert ermittelt werden.

 

Auf Seite 22 der Klageschrift ist auch der Schadenersatz gemäß § 823 I BGB wegen Verletzung des Persönlichkeitsrechts geltend gemacht worden, und zwar in Höhe von mindestens 80.000,00 DM. Dort im Kapitel „Allgemeines“ erklärt der Beklagte wie der Hauptanspruch verzinst wird.

 

Am 27. Dezember 2001 waren die Ansprüche in Euro umgerechnet worden und mit 3.913.827,88 € geltend gemacht worden.

Ein erheblicher Fehler des Beklagten war die Nichttrennung der Haupt- von den Nebenforderungen in der Berechnung des Schadens und die Ermittlung des Schadens bzw. die Geltendmachung des fehlerhaft ermittelten Schadens in US-Dollar. Anbei exemplarisch die Beweise für 2 Jahre.

 

Beweise: Anträge vom 20. November 2001 zu 2b O 268/01 (Berechnung des Schadens).

 

Der Kläger hat versucht den Beklagten mit Schreiben vom 15. Februar 2005 zu bewegen, den Fehler zu beheben / zu berichtigen, was er aber bis zur Niederlegung der Mandate (18. April 2005) nicht getan hat.

 

Die fehlende Berichtigung der fehlerhaften Berechnungsmethode hat der Beklagte zu verantworten.

 

Das Schreiben vom 15. Februar 2005 des Klägers an den Beklagten ist mit diesseitigem Schriftsatz vom 5. Dezember 2014 beigefügt worden und dort auf den Seiten 8 und 9 kommentiert worden.

 

Ersinstanzlich sind Fotokopien der Schadensberechnungen des Beklagten beigefügt worden, um die Fehlerhaftigkeit der Anträge vorzuführen.

 

Dieselbe fehlerhafte Methode (keine Trennung der Hauptforderung von der Nebenforderung) praktizierte der Beklagte auch für die Ermittlung der Schadenshöhe auf Grund des Verlustes des Auftrages der Firma AVT und auf Grund der Verluste aus der ESt-86-92. Somit sind die Verluste um den Faktor 3,5 bis 7,5 künstlich erhöht worden.

 

Beweis: Verlustberechnungen des Beklagten aus der Firma AVT und aus ESt-86-92.

 

Daraus ergibt sich und unabhängig von allen anderen Gründen, dass die Anträge vom 20. November 2001 auf Grund der künstlichen Erhöhung der Verluste keine Aussicht auf Erfolg hatten, aber eine rechtliche Sicherung der Rechtsanwaltshonorare bedeuteten.

Die Liste mit den geleisteten Vorschüssen liegt dem Gericht bereits vor.

 

Mit den fehlerhaften Anträgen hat der Beklagte die Chancen des Verfahrens zunichte gemacht und somit die Grundlage für die PKH-ablehnende Entscheidung des Landgerichts am 4. April 2003 geliefert. Im benannten LG-Beschluss vom 4. April 2003 sind die Berechnungen als im spekula-tiven Bereich liegend verworfen worden.

 

Beweis: LG Beschluss vom 4. April 2003 zu 2b O 268/01.

 

Die sofortige Beschwerde ist am 23. Juli 2004 seitens des Oberlandesgerichts zu 18 W 43/03 als unbegründet zurückgewiesen worden. Dort sind die Fehler und Versäumnisse des Beklagten ausführlich dargelegt worden.

 

Beweis: OLG Beschluss vom 23. Juli 2004 zu 18 W 43/03 (betreffend 2b O 268/01).

 

Aus den Beschlüssen des Landgerichts / Oberlandesgerichts sich, dass die fehlerhafte Prozessleitung des Beklagten kausal für die dem Kläger entstandenen Kosten (gezahlte Honorare) war.

 

Wenn das Gericht Fehler darlegt und mehrfach die Erfolglosigkeit des Verfahrens auf Grund mangelnder Darlegung / Schlüssigkeit hinweist, dann können diese Fehler / Mängel nicht plötzlich weggefallen sein.

 

Am 4. April 2003 war kein endgültiger Schaden eingetreten, weil der Beklagte eine sofortige Beschwerde am 2. Mai 2003 eingelegt hat.

Schließlich sei angemerkt, dass es nicht Aufgabe des Unterzeichenten ist, die damaligen fehlerhaften Anträge hier richtig zu formulieren.

 

b) Kausalität der Klageanträge vom 13. August 2004 für die Kosten des Verfahrens 2b O 268/01

 

Auffällig ist, dass am 13. August 2004 zwei Anträge gestellt worden sind, und zwar

 

a) „Der Beklagte wird verurteilt dem Kläger 522.273, United States Dollar/USD (kurswert12.8.2004, 426.136,58 EUR) nebst gesetzlichen Verzugszinsen, und zwar ab Rechtshängigkeit in Höhe von jährlich 5 Prozentpunkte über dem Basiszinssatz sowie nebst den von der National Bank von Griechenland für Geldanalagen in US Dollar, Anlage Dauer ein Jahr (Anlage K23) gewährten variablen Zinsen, und zwar im Jahr 1989 für 59.663 USD 16,3%, im Jahre 1990 usw. usw. bis im Jahr 2001 für 522.273 bis zur Rechtshängigkeit 6,875%“;

 

b) „63.361,84 EUR nebst gesetzlichen Verzugszinsen, und zwar ab Rechtshängigkeit in Höhe von jährlich 5 Prozentpunkte über dem Basiszinssatz sowie nebst den von der National Bank von Griechenland mit Schreiben vom 22.5.2001 angegebenen variablen Zinsen (1987: 17,80%, 1988: 17,10 % usw. usw. bis ab 1.1.1992 jeweils bis Rechtshängigkeit.“

 

Der Beklagte hat Haupt- und Nebenforderungen (Zinsen) nicht getrennt und somit die Schadenshöhe um den Faktor 8,0 erhöht.

 

Der Beklagte hat also niemals erklärt, warum er am 13. August 2004 die Schadenersatzansprüche wegen der Verluste aus dem Geschäft mit der Firma Gebrüder Apostolopouloi, aus dem Verlust des Auftrags der Firma AVT, aus dem Verlust der ESt. sowie das Schmerzensgeld nicht geltend gemacht hat. Er hatte zwei Jahre Zeit, um zu überprüfen, ob die Ansprü-che durchsetzbar sind.

 

Ebenfalls hat er nicht erklärt, warum der Anspruch zu a) in US-Dollar angegeben wurde und was es mit den Zahlen auf sich hat, die er sowohl im Anspruch zu a) als auch im Anspruch zu b) am 13. August 2004 geltend gemacht hat.


Er hätte wissen müssen, dass vor deutschen Gerichten nur Ansprüche in DM oder in Euro geltend gemacht werden. Auch das hat der Beklagte am 13. August 2004 nicht gewusst und hat dem Kläger nur Kosten verursacht.

 

Es ist auch nicht nachvollziehbar, wie sich die Anträge vom 20. Novem-ber 2001 und vom 13. August 2004 zueinander verhalten und wie sie abgeleitet werden.

 

Diese Schwierigkeiten hatten nicht nur das Gericht, sondern auch der Kläger; er konnte sich die rätselhaften Beträge in den Anträgen des Be-klagten nicht erklären und nicht enträtseln.

 

Auch an dieser Stelle sei nochmals betont, dass es nicht Aufgabe des Unterzeichneten ist hier die damals fehlerhaften Anträge richtig zu formulieren.

 

Insofern ist die Aussage des Klägers richtig, dass ihm bis Ende 2011 von dem Schaden noch nichts bekannt war.

 

Es gab zwar in manchen Erklärungen in den LG/OLG-Beschlüssen Warnungen der Richter; aber diese waren für den Beklagten bestimmt und nicht für den Kläger als Laien.

 

Die Kausalität der „rätselhaften“ Anträge für den eingetretenen Schaden wird vorerst aus zwei Beschlüssen deutlich und zwar am 24. August 2006. Dort erfolgte die Zurückweisung des PKH-Antrags seitens des Landgerichts mit der Begründung der Schwierigkeit der Zuordnung der Zahlen zu den ursprünglichen Beträgen. 

 

Am 4. Juli 2007 bestätigt das Oberlandesgericht die PKH-Ablehnung.

 

Beweis:

 

1. Beschluss des Landgerichts vom 24. August 2006 zu 2b O 268/01;

2. Beschluss des Oberlandesgerichts vom 4. Juli 2007 zu 18 W 2/07 (betreffend 2b O 268/01).

 

Somit waren die unbegründeten Anträge des Beklagten vom 13. August 2004 kausal für die Kosten des Verfahrens zu 2b O 268/01.

 

Alle Beteiligten: die Oberfinanzdirektion Düsseldorf (Nissen), Rechtsanwalt Minnerop, LG-Richterinnen (Tannert, Brückner-Hoffmann, Stockschlaeder-Nöll), OLG-Richter (Malsch/Haarmann/Schröder/Anderegg), Rechtsanwälte Borgelt/Weidemann/Klöpper) haben auf die mangelhaften Schriftsätze und Anträge des Beklagten hingewiesen, so dass diese Mängel/Fehler nicht plötzlich weg sein können.

 

Auch an dieser Stelle sei nochmals betont, dass es nicht Aufgabe des Unterzeichenten ist hier die damals fehlerhaften Anträge richtig zu formulieren.

 

a) Oberfinanzdirektion Düsseldorf (Nissen)

 

In seinen Stellungnahmen (abgegeben im damaligen Verfahren 2b O 118/99 aber mit Geltung für 2b O 268/01) kritisierte er die Schadensberechnungen des Beklagten und trägt am 20. Januar 2003 zu 2b O 268/01 und zu 2b O 271/01 „Anspruchsvernichtende Einwendungen“ vor. Der Mangel des Kausalitätsnachweises stellte eine sichere gerichtliche Niederlage dar.

 

b) LG-Richterin Tannert

 

Richterin Tannert wies darauf hin, dass der Beklagte übertriebene An-träge in Millionenhöhe am 5. Februar 2001 (später 2b O 271/01) und am 20. November 2001 (später 2b O 268/01) gestellt hatte und keine Kausalität (Handlungen der FA-Beamten) dargelegt hat; sie hat versucht, den Beklagten mit Schreiben vom 21. Februar 2001 zu 2b O 118/99 vorsichtig darauf hinzuweisen. Aber der Beklagte hat den Fehler nicht behoben.

 

c) LG-Richterin Brückner-Hoffmann

 

Die abwertende Meinung der Richterin Brückner-Hoffmann über die Schriftsätze des Beklagten wird hinter dem Begriff „Bedenken“ in dem Anhörungsprotokoll vom 12. November 2002 versteckt. Dort weist die Richterin den Beklagten darauf hin, dass die Kausalitätsdarlegung der Handlungen des Finanzamtes für die Pleite des Unternehmens des Klägers fehlt und dass die Klage unschlüssig sei.

 

Nachdem der Beklagte die Berechnungsfehler und die Anträge nicht berichtigt hatte, beschreibt Frau Brückner-Hoffmann in seitenlangen Ausführungen (ab S. 6 bis 10 im Beschluss vom 4. April 2003) die Fehler und Versäumnisse des Beklagten. Die Klage ist unschlüssig, die Kausalität fehlt u. die Schadensberechnungen werden als im „Spekulationsbereich“ liegend eingestuft. Der Beklagte greift diese Hinweise aber nicht auf. In der sofortigen Beschwerde erfolgte trotz der Hinweise des Klägers keine Berichtigung.

 

d) LG-Richterin Strupp-Müller

 

Im PKH-ablehnenden Beschluss vom 24. August 2006 zu 2b O 268/01 sind die Schwierigkeiten der Zuordnung der PKH-Teilanträge für die Fälle AVT und ESt-86-92 aus dem Jahre 20. November 2001 mit den rätselhaften Zahlen/Beträgen in dem Schriftsatz vom 13. August 2004 überdeutlich geschildert. Der Beschlusstenor lautet: „Es ist nicht nachvollziehbar, welche Einzelpositionen Gegenstand der vorliegenden Teilschadenersatzklage sein sollen. Für AVT und wegen nicht geschuldeter Steuer, ist kein Antrag am 13. August 2004 gestellt“.

 

Warum der Beklagte keinen Antrag für die ESt-86-92 am 13. August 2004 gestellt hat, kann man damit erklären, dass der Beklagte aus dem Beschluss des Oberlandegerichts vom 23. Juli 2004 erfahren hatte, dass für Steuerrückforderungen das Finanzgericht zuständig ist. Er hatte also mit Schriftsatz vom 20. November 2001 nicht Schadenersatz, sondern Steuerrückzahlungen beim Landgericht / Oberlandesgericht eingeklagt und das Oberlandesgericht hat den Beklagten darauf hingewiesen.

 

e) LG-Richterinnen Stockschlaeder-Nöll und Engelkamp-Neeser

 

Die Richterinnen der 2b-Zivilkammer (Stockschlaeder-Nöll/Engelkamp-Neeser) konnten auch nicht begreifen, dass der Kläger auf Durchführung des Prozesses 2b O 268/01 mit den rätselhaften Anträgen des Beklagten vom 13. August 2004 bestanden hat und empfahlen den in den Jahren 2008-2011 nachgeschalteten Rechtsanwalt das Mandat nicht zu übernehmen.

 

Aus der Aktennotiz der Frau Stockschlaeder-Nöll betreffend das Tele-fongespräch mit Herrn Rechtsanwalt Klöpper geht die ablehnende Meinung der Richterin für das Verfahren 2b O 268/01 unter der Prozesslei-tung des Beklagten hervor.

 

Beweis: vgl. anliegende Aktennotiz der Richterin Stockschlaeder-Nöll

 

f) OLG-Richter Malsch/Haarmann/Fr. Schröder/Fr. Anderegg

 

Die langen Ausführungen in den OLG-Beschlüssen vom 23. Juli 2004 des 18.Senats (18 W 22/03, 18 W 42/03, 18 W 43/03) lassen keinen Zweifeln darüber aufkommen, wie viele und welche Fehler und Versäumnisse der Beklagte begangen hat. Der Kläger hat aus den OLG-Beschlüssen vom 23. Juli 2004 erfahren, dass der Beklagte die ihm übergebenen Belege nicht dem Gericht zugesandt hatte. Um die Ausführungen hier kurz zu halten wird auf die OLG-Beschlüsse vom 23. Juli 2004 verwiesen.

 

In dem hiesigen Verfahren hat der Beklagte zu seiner Entlastung einen Klageentwurf vom 28. Januar 2005 für die Klage zu 2b o 271/01 vorgelegt und hat somit versucht, den Eindruck zu erwecken, dass er die Be-lehrungen der OLG-Richter bedacht habe und dies im Entwurf für das Verfahren 2b O 271/01 integrieren wollte.

 

Es wird betont, dass der Beklagte für die Klage 2b O 268/01 bis zur Nie-derlegung seiner Mandate am 18. April 2005 keinen einzigen Entwurf vorbereitet hatte und der Entwurf vom 18. Januar 2005 für das Verfahren 2b O 271/01 (auch die Beleg betreffen das Verfahren 2b O 271/01) hier nicht herangezogen und verwertet werden kann.

 

Nebenbei sei erwähnt, dass der Entwurf im Verfahren 2b O 271/01 vom 28. Januar 2005 darlegt, dass die fehlerhaften Anträge nicht berichtigt worden sind.

 

Außerdem ergibt sich auf Seite 15 (letzter Absatz) des Entwurfs vom 18. Januar 2005 für das Verfahren 2b O 271/01, dass der Beklagte Schwierigkeiten hatte, den Schaden zu ermitteln; Hauptanträge (Schaden) und Nebenanträge (Zinsen) sind nicht getrennt worden.

 

Darüber hinaus hat der Beklagte dem Landgericht zu 2b O 29/08 eine absolut falsche Information am 24. Februar 2012 zukommen lassen, dass der Kläger finanziell in der Lage sei, die Kosten in Höhe von 1.496,54 € für einen Mahnbescheid in Höhe von 73.662,27 € zu bezahlen.

 

Die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf hat prompt diese Infor-mation des Beklagten (ohne sie zu überprüfen!!!) verwertet und zu Unrecht die PKH-Anträge zu 2b O 29/08 (14. März 2012) und zu 2b O 271/01 (am 22. März 2012 und 28. Mai 2014) abgelehnt.

 

Der Beklagte wiederholte am 8. Juli. 2014 zu 2b O 102/14 seine Be-hauptung, dass der Kläger finanzstark wäre, und verlangte auch eine Kopie der Steuererklärung des Klägers.

 

Die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf forderte diesmal den Kläger am 26. Juni 2014 auf, nachzuweisen, woher er das Geld hatte, um die Kosten in Höhe von 1.348,00 € zu bezahlen und verlangte Fotokopien der Kontoauszüge der letzten sechs Monate sowie Fotokopien der Einkommensteuererklärungen bzw. Steuerbescheide des letzten Jahres.

 

Hierbei ist am 23. August 2014 seitens des Klägers nachgewiesen worden, dass die Kosten nicht 1.496,54 € betragen (wie der Beklagte behauptete, um die Glaubwürdigkeit des Klägers zu untergraben), sondern nur 1.140,00 € (laut Nachweis der Rechnung des Amtsgerichts Hagen).

 

Einen Teil davon (228,00 €) hat die Sozietät Schmitz, Witte & Collegen vorgestreckt, um den Kläger zu helfen und die restlichen Mahnkosten sind seitens eines Dritten bezahlt worden. Entsprechende Beweise liegen bereits dem Gericht vor; es ist sogar dem Kläger seitens der Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf empfohlen worden, dieselben Beweise an das Oberlandesgericht zu 2b O 271/01 nachzureichen.

 

Die Bescheinigung des Finanzamtes Essen-Süd vom 7. November 2014 deckt die Jahre 2011-2012-2013 ab und bestätigt, dass der Kläger wegen seiner geringen Renteneinkünfte keine Verpflichtung hat, Einkommensteuererklärungen abzugeben. Auch diese Behauptung des Beklagten ist entkräftet worden.

 

Der Kläger musste die Gerichtsgebühren für das Verfahren 2b O 268/01 deshalb entrichten, weil die beantragte Prozesskostenhilfe seitens des Oberlandesgerichts Düsseldorf mit Beschluss vom 23. Juli 2004 endgültig abgelehnt wurde. Ursache für die PKH Ablehnung waren die fehlerhaften Anträge des Beklagten vom 20. November 2001.


Beweis: OLG-Beschluss vom 23. Juli 2004 zu 18 W 43/03 (betreffend 2b O 268/01).

 

Der Beklagte schrieb dem Kläger, dass er vom Schadensersatzanspruch überzeugt wäre, der seitens der Beamten des Finanzamtes Mettmann verursacht wurde und dass er eine Kompensation dieses Schadens erreichen werde; er hielt es als realisierbares Ziel und drängte zur Durchführung der Prozesse.

 

Beweis: Schreiben vom 27. Mai 2005 des Beklagten

 

Auf Grund der Überzeugung, auch des Beklagten, stand dem Kläger wegen der rechtswidrigen Handlungen der Beamten des Finanzamtes Mettmann ein berechtigter Schadenersatzanspruch zu, der aber mit den fehlerhaften Anträgen keinen Erfolg hatte.

 

Diese Überzeugung, nicht nur des Beklagten, sondern auch anderer Fachleute, bestärkten den Kläger, alle Schwierigkeiten (die der Beklagte mittels seiner fehlerhaften Anträge und Schriftsätze bis heute verursacht hat) zu überwinden.

 

Der Beklagte drängte auf die Fortführung der Prozesse selbst am 27. März 2005 und ersuchte Dritte um Unterstützung und um weitere Vorschusszahlungen (siehe sein Schreiben vom 27. März 2005, Seite 4), zu erreichen.

 

Der Kläger musste die Gerichtsgebühren bis April 2006 in Raten bezahlen; auf Grund der geringen Rente (am Rande des Existenzminimums) waren die Zahlungen nicht einfach für den Kläger.

 

Der Kläger musste also kurzfristig einen „Dritten“ suchen und finden.

 

Wenn der Beklagte richtige und nachvollziehbare Anträge am 20. November 2001 gestellt hätte, dann wäre die Prozesskostenhilfe gewährt worden und der Kläger hätte die Gerichtsgebühren nicht zahlen müssen.

 

Für die Gerichtsgebühren - nach endgültigem Eintritt des Schadens im Jahre 2013 - ist der Beklagte erstattungspflichtig.

Kosten 315,44 € für RA Weidemann

 

An Herrn Rechtsanwalt Weidemann sind insgesamt 1.500,00 € bezahlt worden und die Kosten für seine Tätigkeit in dem Verfahren 2b O 268/01 betragen nur 315,44 €. Der Rest des Vorschusses galt für das Verfahren 2b O 271/01. Herr Rechtsanwalt Weidemann konnte die fehlerhaften Anträge des Beklagten vom 20. November 2001 und vom 13. August 2004 nicht enträtseln. Der insgesamt geleistete Vorschuss in Höhe von 315,44 € ist im Vergleich zu der erbrachten Leistungen nicht nur angemessen, sondern auch sehr gering.

Kosten 5.727,59 € für Nachfolger-Rechtsanwalt

 

Der Beklagte und sein Vertreter (Rechtsanwalt Becker) bestreiten die Notwendigkeit der Beauftragung eines weiteren Rechtsanwalts und die entsprechend verursachten Kosten in der oben genannten Höhe.

 

Aus dem Sachverhalt ist ersichtlich, dass der Beklagte am 13. August 2004 eine Klage eingereicht hat (mit fehlerhaften und unbegründeten Anträgen) und mit Schreiben vom 18. April 2005 den Kläger dazu gedrängt hat, einen neuen Rechtsanwalt zu beauftragen, da ansonsten die Klage nicht zugestellt worden wäre; das Verfahren wäre verloren gegangen. Die Kosten für den neuen Rechtsanwalt wurden nach dem RVG abgerechnet und sind rechtmäßig.

 

III. Haftung

 

Die Schadensersatzpflicht des Beklagten ergibt sich dadurch, dass seine mangelhaften Leistungen nicht nur unbrauchbar, sondern auch kausal für alle Kosten einschließlich der ihm bezahlten Honorare, der Gerichtsgebühren für das Aktenzeichen 2b o 268/01 und für die Vorschüsse an die weiteren Rechtsanwälte waren; der Beklagte hat ein Mandat auf einem Rechtsgebiet angenommen, auf dem er kaum Erfahrung und kaum Wissen mitbrachte (siehe Anträge vom 20. November 2001 und vom 13. August 2004). Insofern hätte er sich nach BGH NJW 83, 1665; NJW 2001, 675 die erforderlichen Kenntnisse verschaffen müssen, was er aber nachweislich nicht getan hat.

 

Der Beklagte hat grundsätzlich jeden Irrtum zu vertreten (BGH NJW 2006, 1911).

 

Seine Irrtümer (Nichttrennung der Haupt- von den Nebenforderungen, die Anträge in USD etc.) sind aktenkundig.

 

Aus den erstinstanzlich beigefügten Schreiben des Klägers an den Beklagten geht eindeutig hervor, dass der Kläger keine sturen Anweisungen gegeben hat, sondern nur Akten / Beweise ausgehändigt hat und Vorschläge (in Bezug auf die höhere Rechtsprechung) zur Überprüfung der Richtigkeit und der Durchsetzbarkeit erteilt hat. Der Beklagte hätte prüfen müssen, welche Hinweise etc. gerichtlich nützlich waren, was er aber nicht getan.

 

Der Beklagte hat auch seine Hinweispflicht verletzt und den Kläger über das hohe Honorar nicht belehrt. Auch bis heute hat der Beklagte keine Rechnung an den Kläger erstellt. Wie kommt er auf 16,3 %, die der Kläger eingezahlt haben soll? Die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf hat dies rechtsirrig verkannt. Der Kläger hat wiederholt die fehlenden Rechnungen / Zahlungen moniert.

 

Er hatte mit den fehlerhaften Anträgen den Streitwert in dem Verfahren 2b O 268/01 künstlich um das 8-fache erhöht und somit auch seine Honoraransprüche in die Höhe verschoben, was für den Kläger nicht akzeptabel war. Um die künstliche Erhöhung der Honoraransprüche zu verschleiern, hat der Beklagte keine Rechnungen erstellt, was die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf verkannt hat.

 

Der Beklagte hat den Kläger auch nicht informiert, dass sich die Gebühren nach dem Gegenstandswert richten. Insofern haftet er auch dafür (BGH NJW 2007, 2332)

 

Die Auffassung der Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf, dass eine Pflichtverletzung nicht schlüssig dargelegt worden sei, ist fehlerhaft.

 

Es wurde detailliert dargelegt, welche Pflichten der Beklagte verletzt hat.

 

Der Beklagte wurde mehrfach von den Gerichten (LG/OLG) auf Fehler / Darlegungsmängel im Verfahren 2b O 268/01 hingewiesen, was im Einzelnen dargelegt wurde (so z.B. in der Verfügung vom 23. Juli 2004).

 

Beweis: Beziehung der Akte zu 2b O 268/01.

 

Der Beklagte hat aber auf die Hinweise nicht regiert und die „Fehler“ nicht verbessert, korrigiert und ausgeräumt.

 

Diese (Nicht-) Handlungen des Beklagten führten dazu, dass durch die oben aufgeführten Entscheidungen des BGH und des BVerfG der Schaden endgültig eingetreten ist, da der Kläger bis dahin bemüht war, das Verfahren fortzusetzen und die vom Beklagten verursachten Fehler „auszubessern“.

 

Im Übrigen haben die fehlerhaften Handlungen des Beklagten jeweils neu die Verjährungsfrist in Gang gesetzt

 

vgl.: BGH, NJW 1985, 1023.

 

So hat der Beklagte erneut am 13. August 2004 trotz der Hinweise des Gerichts (vgl. LG-Beschluss vom 4. April 2003) fehlerhafte und unbegründete Anträge gestellt, die sodann dazu führten, dass das Gericht am 16. März 2011 bzw. 12. Oktober 2011 diese zurückgewiesen hat, was die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf nicht berücksichtigt hat.

 

Beweis: wie vor.

 

Diese Fehler waren kausal für den endgültig eingetreten Schaden des Klägers. Die geltend gemachten Prozesskosten stellen hier den zu er-setzenden Schaden nach § 280 BGB dar

 

vgl.: OLG Koblenz, NJW 2006, 3150.

 

Die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf führt lediglich pauschal aus, dass eine Pflichtverletzung schlüssig nicht dargelegt worden sei. Dieser pauschale Hinweis kann angesichts der ausführlichen Darlegungen nicht nachvollzogen werden. Insbesondere deswegen nicht, weil die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf selbst in dem Verfahren 2b O 268/01 mehrfach auf Fehler hingewiesen hat, die aber plötzlich nicht mehr relevant seien sollen. Wie kann das sein?

 

Die Pflichtverletzungen des Beklagten sind auch im Kommentar Palandt, § 280, Rz.70 f. zu finden. Der Beklagte hätte den Kläger ebenfalls über die Prozessrisiken und Beweisrisiken informieren müssen, was nicht geschehen ist. Die Hinweise der Gerichte haben Anlass dazu gegeben. Für die Erhebung einer unschlüssigen Klage ist der RA schadensersatzpflichtig, was hier der Fall ist, da die Gerichte mehrfach den Beklagten auf Mängel/Fehler hingewiesen haben, die er nicht berichtigt hat.

 

Sämtliche vorstehende Gesichtspunkte hat die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf rechtsirrig nicht berücksichtigt, obwohl sie erstinstanzlich vorgetragen wurden.

 

3.

 

Rechtsirrig führt die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf aus, der Kläger trage nicht vor, dass der Beklagte aufgrund Informationen des Klägers in der Lage war, einen schlüssigen Antrag zu stellen.

 

Auch hier hat das Landgericht den umfangreichen Vortrag und die Beweisantritte des Klägers überlesen.

 

Der Kläger hat dem Beklagten bereits mit Schreiben vom 19. April 2003 zu dem Verfahren 2b O 268/01 auf die seitens des Landgerichts Düs-seldorf mit Beschluss vom 4. April 2003 monierten Mängel geantwortet und ihn mit den entsprechenden Informationen beliefert, d.h. er hat ihm im Einzelnen dargelegt, welches die Amtspflichtverletzungen sind. Er hat im Weiteren auch Hinweise zur Darlegung der Kausalität mitgeteilt, d.h. wie die Kausalität begründet werden kann. In diesem Zusammenhang hat der Kläger dem Beklagten auch das entsprechende Zahlenmaterial geliefert. Er hat dem Beklagten weiterhin die entsprechenden Sachverhaltsinformationen geliefert, aus denen der Beklagte die Darlegung der Schadensersatzansprüche des Klägers hätte schlüssig vortragen können.

 

Beweis: Schreiben des Klägers vom 19. April 2003, als Anlage erstinstanzlich übersandt.

 

Zu diesem Schreiben sei angemerkt, dass der Kläger nur vier Seiten des Schreibens übersenden kann, da die weiteren Schreiben nicht mehr ausgedruckt werden können. Das Schreiben war auf einem alten Rechner des Klägers aus dem Jahre 1993 gespeichert. Der Rechner ist defekt.

 

Mit einem weiteren umfassenden Schreiben seitens des Klägers an den Beklagten vom 10. August 2004 (8 Seiten lang) wurde der Beklagte nochmals mit Informationen beliefert, insbesondere zur Darlegung der Kausalität. Der Kläger machte des Weiteren Vorschläge für eine Klageergänzung und lieferte die dazugehörigen Informationen. Insbesondere hat der Kläger den Beklagten auf die zugesandte Kalkulation der Pumpen hingewiesen und ihm mitgeteilt, dass er dem Gericht die entsprechende Kalkulation übersandt hat und auch dem Beklagten. Der Beklagte befand sich somit im Besitz der einschlägigen Informationen zur Begründung der Schadensersatzforderung des Klägers. Ebenfalls hat der Kläger dem Beklagten die Informationen für die ergangenen Kredite und Gewinne mit dem Schreiben erteilt.

 

Beweis: Schreiben des Klägers vom 10. August 2004, als Anlage erstinstanzlich übersandt.

 

Zu erwähnen sei, dass der Kläger erst auf Grund der Beschlüsse des Oberlandesgerichts Düsseldorf vom 23. Juli 2004 (18 W 22/03 und 18 W 43/03) von den Mängeln der Klage in den Verfahren 2b O 268/01 und 2b O 271/01 erfuhr, so dass er erst ab diesem Zeitpunkt entsprechend reagieren konnte.

 

Ergänzend sei noch mitgeteilt, dass der Kläger mit dem zuvor genannten Schreiben auf sämtliche Punkte reagiert hat, die das Oberlandesgericht in den zuvor genannten Beschlüssen moniert hat. Der Kläger hat insoweit alles Mögliche versucht, um den Beklagten zu helfen, dies natürlich aus Sicht und mit den Mitteln eines juristischen Laien.

 

Mit Schreiben vom 6. Dezember 2004 weist der Kläger den Beklagten darauf hin, dass er immer noch nicht auf sein umfassendes Schreiben vom 10. August 2004 reagiert hat. Der Kläger warnt den Beklagten, da bereits 4 Monate verstrichen sind, in denen der Beklagte untätig geblie-ben ist. Er weist den Beklagten auf die Monierungen des Landgerichts hin und auf die fehlende Schlüssigkeit der Klage.


Beweis: Schreiben des Klägers vom 6. Dezember 2004, als Anlage erstinstanzlich übersandt.

 

Mit weiterem Schreiben vom 15. Februar 2005 weist der Kläger den Beklagten auf die nicht erfolgte Trennung zwischen Haupt- und Nebenfor-derungen hin und rügt diesen Fehler. Der Kläger fordert den Beklagten insoweit zur Fehlerbehebung auf.

 

Beweis: Schreiben des Klägers vom 15. Februar 2005, als Anlage erstinstanzlich übersandt.

 

Mit einem weiteren Schreiben vom 16. Februar 2005 seitens des Klägers an den Beklagten wird dieser mit weiteren Informationen zur Darlegung der Kausalität durch die schädigenden Handlungen des Finanzamtes in den Jahren 1985 und 1986 beliefert. Der Kläger nennt dem Beklagten sämtliche Zahlen / Beträge zur Darlegung der Schadensersatzforderung. Er fordert den Beklagten auf, diese Informationen auszuwerten und bei seinem Schriftsatz zu berücksichtigen.

 

Beweis: Schreiben des Klägers vom 16. Februar 2005, als Anlage erstinstanzlich übersandt.

 

An dieser Stelle sei betont, dass sämtliche Informationen anhand der anliegenden Schreiben des Klägers an den Beklagten das Verfahren 2b O 268/01 betreffen. Dies deswegen, weil der Beklagte in dem Verfahren 2b O 268/01 dem Kläger keinen Schriftsatz-Entwurf übersandt hatte und ein weiterer Vortrag in diesem Verfahren auf Grund der Hinweise des Gerichts erforderlich war. Der entsprechende Vortrag musste fristgebunden erfolgen. Das Gericht hatte dem Beklagten insoweit eine Ausschlussfrist gesetzt.

Mit Schreiben vom 29. März 2005 macht der Kläger den Beklagten auf die noch fehlenden korrekten Abrechnungen der

Honorarvorschüsse aufmerksam.

 

Wie kommt der Beklagte auf 16,3 %? Welche Überweisungen des Klägers soll der Beklagte nicht erhalten haben? Hier hat der Beklagte nichts konkretisiert und die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf hat dies nicht berücksichtigt. Es müsse die Mehrwertsteuer ausgewiesen werden und für jedes Verfahren müssen getrennte Abrechnungen erfolgen. Des Weiteren macht der Kläger den Beklagten auf die laufende Frist seitens des Gerichts aufmerksam. Die Monierungen des Gerichts müssen beantwortet werden.

 

Beweis: Schreiben des Klägers vom 29. März 2005,als Anlage erstinstanzlich übersandt.

 

Mit Schreiben vom 3. April 2005 weist der Kläger den Beklagten auf die falschen Quittungen über die Vorschüsse hin. Der Beklagte hat die Verfahren nicht getrennt. Die Quittungen enthielten Beträge unterschiedlicher Verfahren und wiesen die Mehrwertsteuer nicht gesondert aus. Er forderte den Beklagten nochmals zur korrekten Abrechnung nach der BRAGO auf. Der Kläger forderte den Beklagten insoweit, wie bereits oben dargelegt, auf, zwischen Haupt- und Nebenforderungen zu unterscheiden und die Anträge entsprechend umzustellen. Sodann hätte der Beklagte dem Kläger korrigierte Abrechnungen erteilen müssen, und zwar nur nach der Streitwertberechnung der richtig gestellten Hauptforderung. Schließlich wies er den Beklagten nochmals auf seine fehlenden Ausführungen zur Kausalität der Handlungen des Finanzamtes hin, die Ursache für den eingetretenen Schaden beim Kläger waren. Der Beklagte hatte zu diesem Zeitpunkt immer noch keinen Schriftsatz in dem Verfahren 2b O 268/01 geliefert und dies seit dem Jahre 2003. Die Klageanträge sind immer noch seit dem Juni 2003 unverändert geblieben, worauf der Kläger den Beklagten hingewiesen hat.

 

Beweis: Schreiben des Klägers vom 3. April 2005, als Anlage erstinstanzlich übersandt.

 

Zu erkennen ist somit, dass der Kläger alles Mögliche getan hat, um den Beklagten mit den notwendigen Informationen zu beliefern, um die Be-anstandungen des Gerichts auszuräumen. Wohl gemerkt, alles aus der Sicht eines juristischen Laien. Wenn dem Beklagten noch weitere Infor-mationen gefehlt hätten, dann hätte der Beklagte dem Kläger einen entsprechenden Hinweis erteilen müssen, was seine Pflicht war. Ein solcher Hinweis erfolgte nicht. Es sei an dieser Stelle nochmals betont, dass dies in Bezug auf das Verfahren 2b O 268/01 gilt. In diesem Verfahren hat der Beklagte trotz der umfangreichen und zahlreichen Hinweise des Klägers, wie oben dargelegt, nichts getan, d.h. nicht einmal einen Schriftsatzentwurf vorbereitet und dem Kläger als Diskussionsgrundlage und zur Überprüfung zur Verfügung gestellt.

 

4.

 

Die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf hat ebenfalls rechtsirrig keinen Schaden nach § 287 ZPO ermittelt, was es aber aufgrund der Informationen des Klägers durchaus hätte tun können.

 

5.

 

Beweisantritte des Klägers wurden völlig unberücksichtigt gelassen. Die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf hat nicht einmal die Akte zum Verfahren 2b O 268/01 eingesehen, um sich ein Bild vom Verfahren zu machen.

 

Wenn das LG den Vortrag des Klägers berücksichtigt hätte, dann hätte es feststellen müssen, dass der Beklagte keinen Entwurf im Verfahren zu 2b O 268/01 gefertigt hatte und ab August 2004 bis zur Niederlegung des Mandats keine Arbeiten zur Verbesserung der Fehler und Hinweise der Gerichte verrichtet hat.

 

Dieses Verhalten führt ebenfalls zu einer Pflichtverletzung

 

vgl.: BGHZ 83, 21 ff.,

 

was das Erstgericht rechtsirrig nicht berücksichtigt hat.

 

Insofern erfolgte entgegen der rechtsirrigen Ansicht der Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf durchaus eine Kündigung zu einer Unzeit.

 

Das Schreiben vom 17.03.2005, auf welches die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf Bezug genommen hat, hat nichts mit dem Verfahren 2b O 268/01 zu tun, sondern mit dem Verfahren zu 2b O 271/01, was die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf fehlerhaft verkannt hat. Auf diesen Gesichtspunkt wurde das Landgericht mehrfach hingewiesen.

 

In seinen Schreiben vom 06.12.2004 und 15.02.2005 hat der Kläger den Beklagten auf seine Fehler und auf die Pumpenkalkulation hingewiesen, welche der Beklagte am 9. August 2004 nochmals erhalten hatte. In seinem Schreiben vom 10.03.2005 weist der Kläger den Beklagten u. a. auf die Hinweise des Gerichts zur Kausalität hin, die nachgebessert werden muss. Ebenfalls weist der Kläger auf die dem Beklagten über-lassenen Unteralgen, Bewiese usw. hin. Ebenfalls weist der Kläger den Beklagten in seinem Schreiben vom 03.04.2005 auf die Hinweise des OLG Düsseldorf hin, die der Beklagte aber im Weiteren missachtet hat

 

Beweis:

 

1. Schreiben des Klägers vom 06.12.2004, als Anlage beigefügt;

2. Schreiben des Klägers vom 15.02.2005, als Anlage beigefügt;

3. Schreiben des Klägers vom 10.03.2005, als Anlage beigefügt;

4. Schreiben des Beklagten vom 18.08.2008 zu 2b O 29/08, Seite 2, vorletzter Absatz, als Anlage beigefügt;

5. Schreiben des Klägers vom 03.04.2005, Seite 3, als Anlage beigefügt

 

6.

 

Entgegen der Darstellung der Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf war der Kläger durchaus bedürftig. Das Erstgericht weiß, dass die Gerichtsgebühren von einer dritten Person bezahlt wurden. Entsprechendes wurde mehrfach dargelegt, was das Erstgericht aber ignoriert hat.

 

Der Kläger war und ist bedürftig, was anhand der wirtschaftlich bekannten Daten offensichtlich ist.

 

7.

 

Die Einschaltung der Nachfolger war entgegen der Darstellung des Landgerichts durchaus erforderlich. Allein schon aus dem Grund, dass ein Anwaltszwang herrschte. Mit der Niederlegung des Mandats war der Kläger gesetzlich gezwungen, einen neuen Anwalt zu beauftragen.

 

Ferner haben die Gerichte (LG und OLG Düsseldorf) Hinweise erteilt, die es galt, nachzubessern. Die Einzelrichterin des Landgerichts Düsseldorf hat keinen Hinweis dahingehend erteilt, dass die Fortsetzung des Verfahrens „aussichtslos“ sei. Also steht dem Kläger auch das Recht zu, die Fehler, auf die das Gericht hingewiesen hat, nachzubessern, was aber aufgrund des Anwaltszwangs nur mit einem Nachfolger möglich war. Diese „erneuten“ Anwaltskosten wären dem Kläger nicht entstanden, wenn der Beklagte seine Pflichten erfüllt hätte und auf die Hinweise des Gerichts reagiert hätte, was aber nicht der Fall war. Das hat aber nichts mit den Erfolgsaussichten des Rechtsstreits zu tun. Diese Anwaltspflichten bestehen unabhängig von den Erfolgsaussichten des Rechtsstreits, was das Erstgericht verkannt hat. Die Einschaltung der Nachfolger war, was ebenfalls vorgetragen wurde, angemessen, da der Kläger die Fehler beheben konnte. Nur weil das Erstgericht eine andere Auffassung vertritt, heißt dies nicht, dass diese Ansicht automatisch „die richtige“ ist.

 

Das Erstgericht untermauert den eingangs genannten Eindruck, in dem es ausführt, dass die Nachfolger bis heute ebenso wenig zum Erfolg der angestrengten Klageanträge geführt hätte.

Im Ergebnis sagt das Erstgericht in einer durchaus „befangenen Art“, dass, egal welcher Anwalt auftritt und egal was er vorträgt, dem Kläger wird kein Recht zugesprochen, was, wie gesagt, seiner Person geschuldet ist („Der Kläger manifestiert seit Jahren gegenüber den Gerichten, ……“).

 

8.

 

Auf das gesamte erstinstanzliche Vorbringen des Klägers, insbesondere in den Schriftsätzen vom 13. Mai 2014, 24. Juni 2014, 29. September 2014, 5. Dezember 2014 sowie vom 17. Juni 2015 einschließlich der dortigen Beweisantritte wird ergänzend Bezug genommen.

 

Sollte das Berufungsgericht in der einen oder anderen Frage eine Ergänzung für erforderlich halten, wird um einen richterlichen Hinweis gemäß § 139 ZPO gebeten.

 

N. Lasaroff
Rechtsanwalt
zugl. Fachanwalt für Arbeitsrecht

 

Anlagen

Aktennotiz der Richterin Stockschlaeder-Nöll vom 27. September 2011;

 Schreiben des Klägers vom 06.12.2004;

 Schreiben des Klägers vom 15.02.2005;

 Schreiben des Klägers vom 10.03.2005;

 Schreiben des Beklagten vom 18.08.2008 zu 2b O 29/08, Seite 2;

 Schreiben des Klägers vom 03.04.2005, Seite 3

Dernière modification le mercredi, 02 décembre 2015 11:48

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